La première semaine de Ramadan est passé. Le plan des séries télévisées du mois commence à cristalliser et
les téléspectateurs commencent à commenter et à « juger ». Cette semaine, nous abordons deux séries qui ont reçu dès leurs premiers épisodes un succès notable à savoir : «Le Choix II» et «Le Caire-Kaboul». Dans « Le Choix II », la superstar Karim Abdel Aziz joue le rôle principal d’un officier au sein de l ’ o r g a n i s m e d e s renseignements publics égyptiens. Ahmed Mekky joue quant à lui le rôle d’un officier militaire. La série raconte des événements réels qui ont eu lieu lors de la dispersion du sit-in place de Rabaa El-Adawéya au Caire, en août 2013. La série est si réelle et si touchante qu’elle rappelle aux Egyptiens et au monde entier le terrorisme du
groupe terroriste des Frères Musulmans. L’entreprise productrice du feuilleton a pris la peine de le diffuser avec sous titrage en anglais, permettant au monde entier de le suivre pour être témoin des atrocités du terrorisme et de la barbarie du régime de l’ex-président Mohamed Morsi.
Produit par la société de production leader, Synergy, «Le Choix» partie 2 est écrit par Hani Sarhan et réalisé
par Peter Mimi. Le Choix n’est pas la seule oeuvre de Synergy cette année. Elle participe aussi à la course ramadanesque avec la série «Le Caire-Kaboul» qui ravage aussi en nombre d’audience.
«Le Caire-Kaboul» met en vedette un groupe de comédiens férus tels que Tarek Lotfy, Khaled el-Sawy, Fathy Abdel- Wahab, Ahmed Rezk, Nabil el Halafawy, Hanan Motawie, Sherine entre autres. La série, dont le scénario est de Rahim Kamal, est réalisée par Hossam Ali et produite par Synergy. L’accord avec les trois étoiles Sawy, Abdel Wahab et Lotfy pour travailler ensemble au «Caire-Kaboul» a été scellé dans le strict secret.
«Le Caire-Kaboul» tourne autour de trois personnages principaux, l’homme médiatique joué par Abdel Wahab, le policier interprété par El Sawy et le terroriste incarné par Lotfy. Un match de l’interprétation entre les acteurs est à étudier et la finesse de la réalisation attire les téléspectateurs dès le premier shoot.