La louange est à Allāh le Seigneur des mondes celui qui existe sans début, sans fin, sans endroit, sans comment et ne dépend pas du temps, absolument rien ne ressemble à Allāh et Il est Celui Qui entend et Qui voit, quoi que tu puisses imaginer Dieu en est différent, et que l’élévation en degré et la préservation de sa communauté de ce qu’il craint pour elle soient accordées à notre maître Moḥammed, l’Honnête, celui qui a appelé à la religion de vérité, l’islam la religion de tous les Prophètes du premier ‘Adam au dernier Moḥammed, rapporte le site www.islam.ms. Le Prophète Soulaymāne (Salomon) est le fils du prophète Dâwôud -David- qui fait partie de la descendance de Ya`qôub (Jacob). La reine des fourmis sentit qu’il arrivait, lui et son armée. Elle appela et avertit son peuple dans son langage pour qu’ils regagnent leur fourmilière de crainte que Soulaymān et son armée ne les piétinent avec leur pieds et les pattes de leurs chevaux lorsqu’ils descendraient sur terre sans même s’en rendre compte tellement les fourmis étaient petites.
C’est comme si elle avait été inspirée et qu’elle avait su que celui qui arrivait était Soulaymāne le Prophète d’Allāh, le préservé, accompagné de ses soldats pieux à l’égard d’Allāh et que l’écrasement des fourmis par ses soldats ne se produirait deux qu’involontairement.
Le vent porta aux oreilles de Soulaymān qui était à trois miles les paroles de la fourmi. Il les comprit et ce fut un miracle pour Soulaymāne. Lorsqu’il l’entendit, il arrêta ses soldats et les empêcha d’avancer plus avant.
Les fourmis entre temps entraient dans leur fourmilière, par groupes. La reine les appelait en disant: faites vite, faites vite, les chevaux arrivent sur vous. Soulaymāne lui apprit alors qu’elle n’avait rien à craindre pour elle et pour son peuple et qu’ils ne seraient pas foulés par les pieds de son armée. Il les avait en effet arrêtés le temps que les fourmis se mettent hors d’atteinte. La fourmi vint à lui humblement et soumise. Elle se tint devant lui en disant: « ô Prophète d’Allāh, me voilà entre tes mains. Ordonne-moi de faire ce que tu veux.» Il l’interrogea au sujet des paroles qu’elle avait dites. Elle lui répondit: « ô Prophète d’Allāh, je suis comme les autres souverains, je veux le bien pour mon peuple. C’est pour cela que je les ai avertis afin qu’ils regagnent leurs abris.» Il sourit alors de ses propos, par étonnement qu’elle ait perçu sa miséricorde, sa tendresse et la miséricorde de son armée. Il sourit aussi de joie pour ce qu’Allāh lui avait accordé, un pouvoir qu’Il n’avait accordé à aucun autre roi.
Il a été dit qu’il lui a ordonné de lui présenter les fourmis pour qu’il les passe en revue. La reine lui dit: « ô Prophète d’Allāh, il y a parmi elles celles qui se réfugient dans les montagnes, celles qui se réfugient près des cours d’eau, dans les arbres, dans les plantations et même dans les airs. Il s’agit ainsi des fourmis volantes.





