Prénom : Saja
Nom : Mohamed
Âge : 13 ans
Année scolaire : Première préparatoire
Ecole : Saint Vincent de Paul
Une nuit, quand le vent murmurait des secrets oubliés, glissant entre les troncs comme une présence malveillante. Le silence hurlait et l’obscurité dévorait tout espoir. Le son d’une porte en bois qui s’ouvrait doucement dans la forêt, et une ombre entra, tenant un énorme sac sur son dos. Il haletait violemment, et le martèlement de son cœur résonnait dans le silence, comme un tambour de panique prêt à exploser.
L’ombre laissa tomber le sac par terre et s’assit sur une chaise, tenant un couteau rouge et riant.
Dès l’aube, on vit un détective debout dans un petit village, entouré par la police et les villageois. Les villageois l’avaient appelé après avoir découvert une terre souillée de sang et une odeur désagréable émanant de l’endroit. Un des villageois raconta que, durant la nuit, une femme marchait sous la pluie. Soudain, dans l’ambiance hivernale et le froid intense, un homme sortit de derrière une voiture avec un couteau et la tua sans pitié. “Mais je n’ai pas pu continuer à regarder cette scène, car la peur m’a paralysé. C’était un meurtre.”
Le détective, qui s’appelait Éran, déclara : “Un meurtre sans cadavre n’est pas un meurtre.” Il demanda aux enquêteurs de noter tout ce que disaient les villageois et aux techniciens de la police scientifique de prélever un échantillon de sang.
Mais le plus étrange était que les villageois, avec des yeux ensorcelés, disaient : “Un meurtre ? Mais quel meurtre ?” Ils avaient tout oublié. Mais comment ? Éran, choqué par ce qu’il entendait, essaya de trouver un indice pour l’aider.
Sans prévenir, un hurlement retentit autour d’eux. Éran courut à toute vitesse vers la source du bruit et découvrit qu’une autre jeune femme avait été attaquée. Mais cette fois-ci, il n’y avait aucune preuve de sa mort : ni cadavre ni sang. L’intelligence du détective lui permit de comprendre qu’elle n’était pas morte. Il demanda à voir sa maison.
La maison était en complet désordre. Des feuilles partout, des meubles renversés. Éran dit : “Cette femme a essayé de se défendre, mais elle ne s’est pas tuée. Elle est vivante.” Il remarqua une couleur rouge qui brillait sous le soleil. Il prit une feuille et y trouva du sang, mais en petite quantité. Comme si elle s’était coupé le doigt. Éran murmura : “Il y a des traces de pas qui mènent vers la fenêtre, pas vers la porte.”
Il fouilla toute la maison et trouva un cheveu blanc. Il demanda aux villageois : “Cette femme était très jeune, n’est-ce pas ?” Ils répondirent par l’affirmative. Il sourit et déclara : “Il ne s’échappera pas.”
Des mystères qui ne peuvent être compris. Est-ce la vie qui nous déteste, ou est-ce Dieu qui décide que nos vies doivent prendre fin ?
A suivre





