
L’ingénieur Ayman Arab, président-directeur général de la société holding égyptienne pour les aéroports et la navigation aérienne, a passé en revue les principaux éléments du plan de développement aéroportuaire égyptien, notamment l’aéroport international du Caire, Hurghada, Charm el-Cheikh, El Alamein et Sphinx. C’était lors de sa participation à la 34e Assemblée générale annuelle du Conseil international des aéroports (ACI) de la région Afrique, qui s’est tenue à Lusaka, en Zambie, sur le thème « Donner aux aéroports africains les moyens de réaliser une croissance stratégique ».

Arab a expliqué que le plan de développement vise à doubler la capacité de l’aéroport du Caire et à relier les destinations touristiques du pays, conformément à la Vision 2030 de l’Égypte.
Arab a souligné que ces projets renforcent la confiance des investisseurs et soutiennent le secteur du tourisme, en plus de contribuer à la création d’emplois et à la stimulation de la croissance économique dans diverses régions.

L’ingénieur Ayman Arab a participé en tant qu’orateur principal à la première session interactive, intitulée « Débloquer des capitaux pour le développement des infrastructures ». Cette session s’inscrivait dans le cadre de sa participation à la 34e Assemblée générale annuelle du Conseil international des aéroports (ACI) pour la région Afrique, qui s’est tenue à Lusaka, en Zambie, sur le thème « Donner aux aéroports africains les moyens d’assurer leur croissance stratégique ».
Au cours des échanges, ponctués de questions-réponses entre les intervenants et les participants, la session a abordé des sujets tels que l’attraction des investissements dans les aéroports, la gestion des risques financiers et l’alignement des stratégies de financement sur les objectifs de croissance à long terme. Elle a également examiné des mécanismes innovants pour mobiliser des capitaux et ouvrir la voie aux marchés financiers du développement et aux partenariats public-privé pour le développement des infrastructures aéroportuaires africaines, avec la participation d’un groupe restreint d’experts et de décideurs du secteur aéronautique.

Les participants ont convenu que les aéroports ne sont plus de simples passerelles pour les voyages, mais plutôt des actifs économiques stratégiques contribuant au développement. Ils ont souligné l’importance de proposer des solutions de financement innovantes pour permettre aux aéroports africains de parvenir à une croissance équilibrée et durable.