Dans le cadre du programme du Ministère de la Culture et de l’Opéra du Caire visant à faire revivre les trésors de la créativité mondiale, le Chœur de l’Opéra du Caire dirigé par Pascal Rozier et bénéficiant de la formation vocale de Mina Hanna, présente l’opéra « La Flûte enchantée», mis en scène par Hisham El-Tally. Les représentations ont lieu les mardi 25 et mercredi 26 novembre sur la scène principale.L’opéra « La Flûte enchantée » est mis en scène par Hisham El-Tally. L’Opéra pour la Flûte de Mozart est sa dernière œuvre, créée sous sa direction à Vienne fin 1791. Appartenant au genre comique, il mêle chant et dialogues dramatiques. Se déroulant dans l’Égypte antique, il raconte l’histoire du beau prince Tamino, qui perd connaissance en tentant d’échapper à un serpent géant. Trois suivantes de la Reine de la Nuit le sauvent et lui offrent un collier à l’effigie de Pamina, la fille de la reine. Captivé par sa beauté, il tombe amoureux. Cependant, il découvre qu’elle est prisonnière d’un homme maléfique nommé Sarastro. Il jure de la libérer et informe la Reine de la Nuit de son intention. Elle lui promet de lui donner sa fille en mariage s’il réussit et lui offre une flûte magique. Elle charge les trois suivantes de l’aider dans sa quête. Les événements se déroulent dans un récit captivant qui symbolise l’éternel combat entre le bien et le mal.Les rôles principaux sont interprétés par Hisham El Gendy en alternance avec Mustafa Medhat (Tamino), Dalia Farouk en alternance avec Malak El Shafei (Pamina), Elhami Amin en alternance avec Ezzat Ghanem (Papageno), Ingy Mohsen (Papagena), Amira Reda en alternance avec Hagar Lots (la Reine de la Nuit), Osama Gamal et Ahmed El Shimi (Sarastro), Noura El Alfy, Julie Fayzi et Laila Ibrahim (les Trois Servantes), Ibrahim Nagi (Monostatos), Sherine El Maghraby, Ghady Magdy, Malak Abdel Qader et Mahitab Nader (les Trois Fées), Mina Raphael et Burhan El Din (les Guerriers), Reda El Wakil (le Premier Prêtre), Ahmed Sami et Raymond Malak (le Second Prêtre). La voix du temple est celle de Ramez Labad. Les décors et les éclairages sont l’œuvre des ingénieurs Mohamed Abdel Razek et Yasser Shaalan.





