Prénom : Saja
Nom : Mohamed
Âge : 13 ans
Année scolaire : Première préparatoire
Ecole : Saint Vincent de Paul
“Je voudrais choisir un bateau. Pas le plus grand, ni le plus beau. Je le remplirai d’amour et de grain, des images flambées par un sens d’amour, et une fois que j’aurai atteint l’île de l’amour, je me ferai une copie de la vie et je l’accrocherai devant mon amoureuse, et nous la regarderions ensemble.” Des mots qui sortent l’un après l’autre du cœur brisé et enveloppé par le chagrin de Sébastien.
Écoute, mon ami. La vie n’est pas un long fleuve tranquille, mais une mer déchaînée où nous devons naviguer à vue. Tes blessures d’aujourd’hui sont les étoiles qui guideront ton chemin demain. Oublie le temps pour un instant. Et là où ton cœur te pousse, tu pourras te trouver là-bas à chercher ta parenthèse après une course qui ne se termine jamais. Tu dois retrouver tes traces et ta place. L’or de ton passé est caché dans ton jardin secret. Creuse bien et tu vas le trouver. Ton espoir peut dépasser l’océan. Avec ton amour pour Mélanie, tu pourras décrocher la lune. La voix de Mélanie va résonner dans ton cœur, mais ce n’est pas la fin de ta vie. ” Des mots de réassurance de George qui avait un bras qui saignait et personne n’a même pas pensé lui demander s’il sentait de la douleur ou non pour éteindre le feu allumé de Sébastien.
Sébastien a répondu d’une voix désespérée “Je suis comme un vieux chêne , mes racines sont profondes, mes branches sont brisées, mais je continue à offrir de l’ombre à ceux qui en ont besoin.”
Roméo, qui était déçu par le comportement de sa femme envers la femme de Fabien qui était son livre secret et son arme cachée. En allumant un feu pour une main tremblante, il répétait : “Le temps d’avant, c’était le temps d’avant. Si tout zappe et lasse, les amours aussi passent. J’irai chercher le cœur pur de Fabien s’il l’emporte ailleurs. J’irai chercher ton âme dans les froids, dans les flammes.” Il a cassé son miroir. Avec un morceau de verre, il l’a fixé directement dans son cœur. Il tomba par terre et personne ne l’a su.
Les gens sont comme les hamsters qui tournent dans la roue de la roue de la vie et qui ne s’arrêtent pas. Ce qui compte, ce sont les actes durant la vie, pas les derniers mots. Un cri sans voix, un pas sans traces et un vent sans sens ne sont pas une vie.
A suivre





