L’Egypte a réaffirmé sa détermination à poursuivre le renforcement de son système de protection des droits de l’Homme, sur des bases solidement ancrées dans le respect de la Constitution et des engagements internationaux du pays. Elle a également souligné sa volonté de développer les politiques et les législations nationales visant à soutenir les droits et les libertés fondamentales.
L’Egypte a réaffirmé- dans un communiqué publié par le ministère des Affaires étrangères à l’occasion de la Journée internationale des droits de l’Homme- son engagement à poursuivre ses efforts pour garantir une vie digne à tous les citoyens et offrir un environnement sûr favorisant les valeurs de citoyenneté, de primauté du droit et d’égalité.
Selon le communiqué, “L’Egypte a connu, ces dernières années, une avancée notable dans le domaine de la promotion et de la protection des droits de l’Homme, fondée sur une conviction nationale profonde quant à la nécessité de renforcer et d’élever la condition du citoyen égyptien, et d’assurer l’exercice de ses droits constitutionnels sans discrimination. Une progression qui n’aurait pu être accomplie sans la volonté politique et le désir sincère de poursuivre l’amélioration du cadre législatif et des pratiques en matière de droits humains”.
Le ministère a également affirmé avoir maintenu un dialogue constant avec les mécanismes régionaux et internationaux des droits de l’Homme, en présentant et discutant régulièrement ses rapports devant les comités onusiens compétents, tout en participant de manière constructive aux forums concernés. Cette interaction, précise-t-il, vise à promouvoir les droits humains dans leur acception globale, sans sélectivité ni discrimination, en particulier les droits légitimes du peuple palestinien. Le communiqué rappelle enfin que l’Egypte a intensifié, au cours des deux dernières années, ses efforts pour contribuer à un cessez-le-feu dans la bande de Gaza, mettre fin à la guerre, permettre l’acheminement de l’aide humanitaire et créer les conditions nécessaires à la reprise du processus politique ainsi qu’au lancement de la reconstruction et du relèvement. Des efforts menés conformément au droit international humanitaire et aux principes relatifs aux droits de l’homme, au premier rang desquels le droit à la vie et le droit à l’autodétermination.





