Octobre 1973, les Egyptiens célèbrent leur victoire contre l’occupant sioniste. Octobre 2021, ils célèbrent- en plus de ce jour glorieux et mémorable- leur victoire dans le développement.
Par Mohamed El-Sayed El-Azzawy
Editorial du Progrès Egyptien.
Dans la vie des nations, des stations restent importantes et cruciales dans leur histoire. Si la victoire de 1973 en est une pour l’Egypte, ces dernières années également, le développement durable et le progrès que le pays connaît dans maints domaines, sont aussi une station importante de son Histoire. Les politiques parlent d’une nouvelle traversée après celle du Canal en 1973. Nous disons que le facteur commun dans ces deux victoires, est la volonté et la détermination des Egyptiens. C’est l’esprit d’Octobre qui régit donc. Nous célébrons cette année le 48e anniversaire de la victoire d’Octobre, aussi bien que notre passage vers de nouveaux horizons de construction et de développement durable. Le Sinaï a toujours eu cette place de notoriété, que ce soit dans le passé ou le présent. Après de longues années d’oubli, la péninsule reluit avec des méga- projets imposants d’une valeur estimée à des milliards de LE.
ctobre 1973, les Egyptiens célébraient leur victoire contre l’occupant sioniste. Octobre 2021, ils célè- brent- en plus de ce jour glorieux et mémorable-
Si le soldat égyptien a prouvé, lors de la guerre d’Octobre, qu’il est capable de franchir l’impossible et de réaliser la vic- toire, aujourd’hui encore, le citoyen égyptien a prouvé qu’il est capable de surmonter les difficultés, de relever les défis et de réaliser le progrès. Le succès foudroyant réalisé par l’Egypte au cours de ces dernières années a fait oublier au peuple les difficultés qu’il a endurées, tout comme la victoire de 1973 a pu effacer le revers de 1967. Aujourd’hui encore, le pays mène le combat du développement et de la construc- tion de la Nouvelle République. En 1973, l’Egypte a libéré son territoire de l’occupant. Et en 2021, l’Egypte mène un combat pour se libérer de son ennemi juré : la pauvreté, l’ignorance, la maladie et les bidonvilles.





