Dans quelques jours, l’année 2021 se terminera. Comme toutes les années d’avant, elle emportera vers des crises internationales qui oscillent entre la solution (règlement) ou l’explosion (guerre ou conflits).
Selon Abdel Moneïm Saïd, dans un article publié par le quotidien Al-Masri Al-Youm, la crise du coronavirus est en tête des crises qui se transmettront d’une année à l’autre. Ce ne sera point quelque chose de nouveau. Le monde a déjà vécu ce moment de transition. L’on a appris que la pandémie continue et que des variants se forment face aux vaccins et aux médicaments prévus.
La course Homme-Pandémie se poursuivra en 2022 mais la surprise demeure inconnue (…)
Avec la fin de 2021, 2022 portera dans ses replis trois crises internationales. La première, entre l’OTAN et la Russie, au sujet de l’Ukraine. La deuxième, entre les USA et l’Iran, vu la possession d’armes nucléaires. La troisième est la crise palestinienne mais dans sa nouvelle version issue de la quatrième guerre de Gaza survenue en mai 2021.
La première crise n’est pas née du hasard ; elle a des origines historiques (…) 2022 réglera-t-elle cette crise entre l’Otan et la Russie via un compromis qui se fait entrevoir à l’horizon de temps à autre ?
Quant à la deuxième crise, elle n’a pas eu lieu tout d’un coup. Elle date de 2015 lorsque l’Iran a commencé à développer des armes nucléaires (…) 2022 trouvera des solutions à la plupart des anciens problèmes tout en prenant en considération les nouveaux détails. La question nucléaire serait réglée mais la crise iranienne ne le sera pas (…)
La troisième crise est liée à la deuxième en ce qui concerne les expansions iraniennes dans la région. La crise palestinienne est, pour sa part, ancienne. Ses dernières évolutions étaient la quatrième guerre de Gaza survenue en mai dernier. Il faut mentionner le soutien iranien au Hamas et au Hezbollah.
L’Egypte joue un rôle actif de médiateur pour calmer le conflit et reconstruire Gaza. (…)