Une pincée de Covid, un soupçon de politique, une fine couche de neige, un maigre public mais aussi une grosse dose de Valieva et des exploits sportifs à foison, à l’instar de Quentin Fillon Maillet et d’Eileen Gu: les Jeux olympiques de Pékin se sont achevés dimanche sur le cocktail habituel.
Le président du Comité international olympique (CIO) Thomas Bach a, comme le veut la tradition, “clos” ces 24e JO d’hiver sur un discours de paix, avant que la flamme olympique ne s’éteigne dans la capitale chinoise au terme de cette quinzaine si particulière, sous le régime d’une bulle sanitaire très stricte qui a grandement gâché la fête. Tout aussi regrettable mais plus commun dans l’histoire olympique, le dopage s’est aussi invité à Pékin avec un nom: Kamila Valieva. A 15 ans, la patineuse russe se retrouve au centre d’une retentissante affaire qui se poursuivra bien audelà du rendez-vous chinois.