Le 28 janvier 2022, les Nations Unies ont publié leur 14e rapport, signé par son Secrétaire général, publié par le Conseil de sécurité avec 12022163 S, sur la menace posée par Daech en Irak et au Levant. Le rapport souligne les efforts des Nations Unies pour soutenir les États membres dans la lutte contre cette menace, et à la page 21, le rapport a confirmé que la direction de Daech est en Syrie et reçoit un soutien logistique des pays voisins, et que le chef actuel de cette organisation terroriste est l’émir Mohammed Saïd Abdel Rahman.
Le rapport s’adressait au «camp d’Al-Hol» que j’ai par coïncidence cité dans mon article précédent, soulignant que le camp abrite 56.000 personnes, dont 2.000 femmes européennes, veuves des terroristes de Daech déjà éliminés, avec des enfants estimés à 7.000, et que leurs pays d’origine refusent leur retour.
La partie la plus importante de ce rapport, pour moi, a été sa clarification de la répartition des activités terroristes dans le monde, y compris en Égypte, soulignant que l’activité d’Ansar Bayt al-Maqdis, en Égypte, qui est affiliée à Daech, a été éliminée depuis 2019, car il n’y a pas eu d’opérations terroristes depuis cette année.
Le rapport de l’ONU a attribué le succès de l’Égypte à les éliminer non pas seulement aux opérations militaires menées, mais aussi à la philosophie des dirigeants égyptiens, reflétée dans les déclarations du Président Abdel Fattah Al-Sissi, selon lesquelles la sécurisation du Sinaï ne se fera pas uniquement par une action militaire, mais par son développement.
Le rapport aborde ensuite les efforts de l’Égypte au Sinaï, en investissant dans des projets d’infrastructure, de transport et de routes, de logements et de bonification des terres, ce qui a eu un impact important sur l’augmentation des taux de croissance, éliminant ainsi le terrorisme dans cette région.
Le rapport de l’ONU a rappelé les décisions du Président Al-Sissi, notamment la déclaration concernant la bonification d’un demi-million de feddans au Sinaï, la construction de cinq tunnels et de tunnels majeurs pour relier le Sinaï au Delta, ainsi que le développement du port d’Al-Ariche, des carrières de marbre, le développement du Lac Bardawil et la création de l’aéroport de Bardawil, pour transporter du poisson, pêché le même jour, à destination de l’Europe.
Ce rapport sorti des Nations Unies rend justice à l’Égypte et à ses politiques, qui ont réussi à éliminer le terrorisme, par le développement, et pas seulement par la voie militaire.





