Presque trois ans se sont écoulés depuis que le coronavirus a rythmé le quotidien de la planète bleue. Et les gestes barrières ont marqué notre vie : gels hydro-alcooliques, masques, dis[1]tances. Autant de mots clés qui se sont imposés dans notre vie. Alors que certains pays ont annoncé une réduction des mesures préventives contre ce virus maléfique, la crise russo-ukrainienne a commencé : l’impact touche de près le quotidien des êtres humains comme le prix des carburants et des céréales. Sur l’image, le caricaturiste d’Al-Masry Al-Youm évoque cette dépression générale face à la hausse des prix et une ambiance morose vu la pandémie et les différentes crises. On voit un jeune homme qui s’adresse à un pharmacien et lui dit : « Ce masque est pour le coronavirus, n’y a-t-il pas un autre face à la dépression ?»




