Depuis que le président Abdel Fattah Al-Sissi a pris le pouvoir en 2014, l’Egypte a réussi à défendre les intérêts du continent africain et à élever la voix en faveur du juste droit à la paix, à la stabilité et au développement.
Les efforts de la direction politique ainsi que de la diplomatie égyptienne et des institutions de l’État, ont réussi pendant plus d’une décennie à établir des relations équilibrées basées sur le respect mutuel, la réalisation d’intérêts communs et la non-ingérence dans les affaires intérieures, avec tous les pays à travers le monde, à l’est, à l’ouest, au nord et au sud, tout en plaçant l’appartenance régionale aux niveaux africain et arabe en tête des priorités, selon la MENA.
Plusieurs progrès ont été réalisés au cours de la présidence égyptienne de l’Union africaine, Le Caire, sous la direction du président Al-Sissi, a lancé la Zone de libre-échange continentale africaine suite à l’entrée en vigueur de l’Accord de libre-échange continental qui l’organise, ce qui figurait parmi les priorités annoncées par le Président pendant la présidence égyptienne de l’Union.
Les pays africains se sont précipités pour établir un bloc économique de 3,4 trillions de dollars, qui rassemble 1,3 milliard de personnes pour constituer la plus grande zone de libre-échange depuis la création de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), ce qui offre une occasion en or de créer la transformation économique et réaliser le développement du continent.
La politique égyptienne envers l’Afrique repose sur plusieurs voies parallèles, dont les plus importantes étaient celles du développement, de l’augmentation des échanges commerciaux entre les pays du continent africain, de l’amélioration des infrastructures et de l’expansion des projets d’entrepreneuriat afin d’améliorer le niveau de vie du citoyen africain, et au sommet de ces projets se trouvaient les projets liés à l’eau.
Les dix dernières années ont aussi vu la mise en place des projets de développement égyptiens les plus importants en Afrique, notamment des projets reliant l’Égypte à l’Afrique, à travers les secteurs des transports et des communications, de l’électricité.
La défense du juste droit des pays africains au développement, à la paix, à la stabilité et au progrès reste une des constantes de la politique étrangère égyptienne à l’époque du président Al-Sissi, alors que l’Egypte a défendu le continent en matière de climat, comme l’a affirmé le président Al-Sissi, dans son allocution devant la 26ème session du Sommet des Nations Unies sur les changements climatiques (COP26) à Glasgow, en disant: l’Egypte appelle à la nécessité d’accorder un traitement spécial au continent africain dans le cadre de la mise en œuvre de l’Accord de Paris.
Au cours des dernières dix années, l’Egypte a pris la présidence de plusieurs organismes africains à savoir: le Marché commun pour l’Afrique orientale et australe (COMESA) et le Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine, alors que le Caire a aussi réussi à accueillir le siège de l’Agence spatiale africaine.
Partant de son souci de soutenir les pays africains dans divers domaines et dans le cadre de l’approche et de l’orientation égyptienne visant à promouvoir le concept de partenariat et d’intérêts communs et à parvenir au développement durable des pays du continent africain, l’Agence égyptienne pour le partenariat pour le développement en Afrique, créée en 2014, contribue à renforcer les capacités de nos frères africains dans divers domaines.
L’agence vise à contribuer au renforcement des efforts de l’Egypte dans le domaine de la coopération internationale, notamment la coopération Sud-Sud, dans les secteurs liés au développement durable des pays africains et islamiques.