Le président Abdel Fattah Al-Sissi, a déclaré jeudi que la Haute-Égypte n’était ni marginalisée ni oubliée, mais que l’État n’en était pas capable, indiquant que l’État avait besoin de 70 trillions de livres pour mettre en place des projets visant à réaliser le processus de développement requis.
Commentant l’allocution du Premier ministre, Moustafa Madbouly, prononcée lors de l’inauguration d’un certain nombre de projets de développement dans le gouvernorat de Sohag, le président Al-Sissi a affirmé que les progrès réalisés étaient d’abord un succès de Dieu et une tentative de développer la pensée et de résoudre les problèmes à travers une voie atypique.
M. Madbouly, a dit le chef de l’Etat, a fait la lumière sur une partie mise en œuvre en dehors du cadre de l’initiative “Vie décente” et une autre partie dans le cadre de l’initiative précitée, expliquant que le chiffre total sans vie décente s’élevait à 7 trillions de livres, soit une somme très modeste face au rêve que nous cherchons à réaliser.
Le président Al-Sissi a ordonné de fournir le soutien financier nécessaire pour mettre en œuvre de nouveaux projets et expériences de jeunesse à partir du fonds “Vive l’Egypte”.
Le chef de l’Etat a jugé nécessaire d’avoir un interprète de langues des signes pour que chacun puisse comprendre ce qui se déroule au cours des cérémonies d’ouvertures.