Le développement économique et le développement humain sont les deux faces d’une même pièce, et le groupe ministériel pour le développement humain œuvre constamment à améliorer l’Indice de développement humain (IDH) mondial de l’Égypte, a déclaré le ministre de la Santé, Khaled Abdel Ghaffar.L’Indice de développement humain (IDH) de l’Égypte est de 0,7, selon le classement du PNUD et de la Banque mondiale (BM), ce qui place le pays dans une catégorie de développement humain élevé, en fonction des normes et des axes définis, au premier rang desquels figurent l’enseignement, la santé, la qualité de vie, la promotion des capacités des individus et le revenu national par habitant, a précisé Abdel Ghaffar, également vice-Premier ministre, qui intervenait dimanche lors d’une séance-débat organisée en marge de la 6e édition de la Conférence des expatriés égyptiens.Il a également fait état de la coopération et de la coordination constantes avec le ministre de l’Enseignement, Mohamed Abdel Latif, pour améliorer les résultats et la qualité de l’enseignement de base, ainsi que de l’attention portée à la petite enfance, en vue de porter à 60–70 % le taux de scolarisation en maternelle, contre 28 % actuellement.