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Home Vision d’Egypte

Au plaisir de ses auditeurs, Eric La Garenne s’exprime à cœur ouvert sur maints sujets

par Hanaa Khachaba
June 2, 2025
in Vision d’Egypte
Au plaisir de ses auditeurs, Eric La Garenne s’exprime à cœur ouvert sur maints sujets 1 - Le Progrès Egyptien
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➢ Je n’ai jamais copié personne, j’ai ma patte

➢ Je ne suis pas fait pour les paroles légères

➢ Je travaille avec la tête et avec le cœur

➢ Dans les loges de l’Opéra du Caire, je recevais plein de cartes d’encouragements

➢ Le public de Damanhour m’a laissé une trace indélébile

Au plaisir de ses auditeurs, Eric La Garenne s’exprime à cœur ouvert sur maints sujets 3 - Le Progrès Egyptien

Perçue comme une langue universelle, la chansona la capacité unique de transcender les frontières linguistiques et culturelles. Elle peut toucher les gens à un niveau émotionnel profond, souvent sans même que les paroles soient comprises. Capable de chanter avec succès devant un public étranger, peu importe la langue, Eric La Garenne se fait des milliers de fans dans les quatre coins du monde.

Le Progrès Egyptien a eu l’immense plaisir de faire cet entretien avec ce chanteur français à la voix puissante, Eric La Garenne, ce passionné de rencontres et d’échange culturel. Peu importe la langue, celui dont les amis appellent le « troubadour des temps modernes », chante devant un public étranger, convaincu que la chanson est porteuse d’émotions intenses, quelle que soit la nationalité de l’auditoire.

• Le Progrès Egyptien (LPE) : Pouvez-vous nous parler de vos débuts dans la musique ? Qu’est-ce qui vous a inspiré à devenir chanteur et compositeur ?

➢ Eric La Garenne : Au début de ma carrière, j’étais classé comme chanteur engagé parce que je dénonçais le racisme, les guerres, le nucléaire, toutes les choses dont j’ai horreur.Je me suis un peu assagi avec l’âge. J’ai quand même chanté ma personnalité, parce que je ne peux pas chanter des textes que je ne ressens pas. Je suis très mauvais interprète si je ne suis pas en accord avec les mots et les paroles. Je chante ce que je suis. J’ai des chansons engagées, bien entendu, des chansons sentimentales, des chansons avec une touche d’humour et de la poésie aussi parce qu’elle fait partie de ce que j’aime. Dans mes albums, il y a normalement une ou deux chansons marrantes pour détendre un peu l’atmosphère. Ces quatre orientations sont présentes dans chacun de mes albums depuis 2003.   

Au plaisir de ses auditeurs, Eric La Garenne s’exprime à cœur ouvert sur maints sujets 5 - Le Progrès Egyptien

• LPE : Quelles ont été vos influences musicales en grandissant ?

➢ Eric La Garenne : Ce sont plutôt les chanteurs qui sont connus en France voire au-delà du pays comme Jacques Brel, Georges Brassens, Georges Moustaki et Georges Chelon un peu moins connu à l’étranger. Ce sont mes maîtres en fait. Au début, je chantais des chansons des autres plus commerciales, avec des textes moins forts. On appelle ce genre de chansons des « chansons de variété ». J’ai vu que je n’étais pas fait pour ça parce que les paroles étaient un peu légères. Ce n’était pas vraiment ce que je voulais faire. J’écoutais des concerts de « chanteurs à textes », comme on dit, et là, j’ai vu que c’était plus intéressant pour l’interprétation parce que quand je suis sur scène, j’ai la performance assez théâtrale :  je bouge, j’écarte les bras, je me prends la tête…J’aime bien joindre le geste à la parole et vivre mes chansons un peu à la manière d’un comédien. Au début, ma couleur musicale m’a été inspirée par les grands de la chanson française, alors que maintenant j’ai ma personnalité. Je n’ai jamais copié personne. Ce sont juste des influences. Maintenant, je suis Eric La Garenne que les gens commencent à connaître depuis des années. J’ai ma patte, mon propre style. 

• LPE : Comment décririez-vous votre processus de composition ? Avez-vous une routine ou des rituels particuliers lorsque vous composez ?

➢ Eric La Garenne : En fait, je ne m’assois pas dans un bureau pour écrire une chanson. Ce sont des flashs, des idées soudaines. Il suffit d’un mot, d’une émission de télévision, d’une rencontre, d’un déclic. Quelqu’un me met sur une voie et puis je me lance : une idée d’une chanson m’arriveet je commence à travailler dessus. Je suis autodidacte qui n’ai pas du tout de technique d’écriture. Ce sont plutôt les paroles qui me viennent d’abord à l’esprit et la mélodie suit. Ensuite, je cherche les rythmes, les tonalités puis je présente le tout aux auteurs qui complètent mon texte. Je travaille après avec un musicien pour savoir si notre tempo est bien ce que j’ai pensé. Je travaille avec un musicien ou deux sur ce que j’ai commencé à créer. Je suis un peu hors norme. Je travaille carrément avec ma tête et avec le cœur, soit ce que je ressens. 

• LPE : D’où tirez-vous principalement votre inspiration pour vos chansons ?

➢ Eric La Garenne : Mon inspiration est partout, dans la rue, en voiture, dans les émissions de télé ou quelque chose qui me fait réagir dans l’actualité. Je peux avoir deux idées dans la même semaine, et je peux rester trois mois sans idée. Quand j’ai l’idée, je commence souvent par le refrain, je mets la mélodie. Je n’enregistre pas tout de suite la chanson. Ma technique c’est que si le lendemain je ne me souviens plus de ce que j’ai fait, c’est que ce n’est pas bon. En fait, je la chante une dizaine de fois, donc si je ne rappelle pas c’est qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Si je me rappelle la mélodie et le refrain, là je l’enregistre avec mon téléphone portable pour ne pas la perdre. Je peux améliorer aussi quand la chanson prend forme, parce qu’après, je travaille sur le couplet une fois que mes co-auteurs m’envoient des textes qui ne sont pas souvent définitifs parce que je peux y faire quelques modifications. Il y a une question de pied, il faut que ça colle avec les mesures. C’est assez compliqué. Mais j’arrive très facilement à le faire. Ça se passe très bien pour l’instant.

• LPE : Pouvez-vous nous parler de vos projets musicaux actuels ? Sur quoi travaillez-vous en ce moment ?

➢ Eric La Garenne : Mes projets musicaux sont actuellement en stand-by. Je fais la promotion de mon dernier album qui est sorti en fin de l’année 2024. J’ai l’intention de faire un concert à l’automne. J’avais perdu la voix à la suite d’un Covid long, ce qui m’a mis un peu en arrêt. J’ai pu quand même enregistrer parce que quand on est en studio, on ne fait que deux ou trois chansons par jour, donc c’était jouable. Par contre, un concert d’une vingtaine de chansons, c’est assez compliqué. Je n’ai pas voulu mettre mes cordes vocales en péril. En France, on travaille à plusieurs sur un concert, deux ou trois artistes. Je participerai donc aux côtés d’une jeune chanteuse sénégalaise. Je l’ai fait avec d’autres aussi. Partager la scène avec quelqu’un est une expérience qui m’a toujours plu. Je me prépare aussi à faire quelque chose en septembre. Je dépense beaucoup de temps et d’argent pour défendre mes nouvelles chansons auprès des radios des pays qui m’invitent, comme l’Egypte en particulier, d’autres pays africains, le Liban, le Cap Vert. Les projets deviennent un rituel maintenant. Je me produis là où les gensm’apprécient, je ne parcours pas le monde inutilement parce qu’il y a des gens qui n’aiment pas la chanson française et préfèrent la chanson anglo-saxonne, il en faut pour tous les goûts. Je suis dans un créneau particulier. Je suis comme un troubadour moderne qui se promène et véhicule ses chansons. 

Au plaisir de ses auditeurs, Eric La Garenne s’exprime à cœur ouvert sur maints sujets 7 - Le Progrès Egyptien

• Le Progrès Egyptien  : Avez-vous des collaborations prévues avec d’autres artistes ?

➢ Eric La Garenne : J’ai une collaboration prévue avec une chanteuse très connue en Côte d’Ivoire, Chantal Taiba. Je voudrais aussi travailler à nouveau avec mes amis chiliens qui habitent en France. Ils sont trois frères chiliens dont le papa a été un réfugié politique. Ils ont monté leur groupe et se produisentdepuis une trentaine d’années. J’ai envie de partager la scène avec ce trio très attachant et très professionnel. 

• Le Progrès Egyptien  : Quel a été le moment le plus mémorable de votre carrière jusqu’à présent ?

➢ Eric La Garenne : Bientôt je fêterai 35 ans de carrière. J’ai des moments mémorables dans tous les sens du terme. Ce qui m’a marqué et me marquera jusqu’à la fin de ma vie, ça a été des scènes extérieures comme le Festival international de Bizerte en Tunisie, en 2013, où j’ai été très bien accueilli par un public de jeunes. Je chantais dans un amphithéâtre en plein air une chanson sur les Indiens d’Amérique, ça me rappelle ce qui se passe aujourd’hui au Proche-Orient et en Ukraine. Cette chanson s’appelle « En Vérité » qui dénonce les génocides. A ce moment, je ne comprenais pas pourquoi les jeunes scandaient « Gaza .. Gaza ». Je savais qu’il y avait une tension là-bas, mais les médias n’en parlaient pas trop chez nous. C’est là que j’ai mis le doigt sur quelque chose, c’était un moment très fort. 

Quand je me suis produit à l’Opéra du Caire également, c’est aussi un concert mémorableparce que c’était un rêve pour moi. J’avais été présenté au journaliste Essam Abdel Fattah qui animait une émission sur les chansons françaises par l’attachée culturelle d’Egypte à Paris. Tout a démarré avec l’Egypte fin 2004. Je suis parti en Egypte où j’ai fait une émission et à ce moment, l’attachée culturelle m’a annoncé que je chanterai à l’Opéra du Caire. Je n’en croyais pas mes yeux parce que je ne suis pas connu là-bas. J’étais tellement ému que j’ai versé une larme dans les loges parce que je recevais des cartes d’encouragements et de félicitations de gens qui étaient soit des professeurs de français, des journalistes, des femmes politiques. Cela m’a énormément touché. Je garde un très bon souvenir de mon concert en 2017 à l’Opéra de Damanhour aussi. Depuis que je chante, ça a été le public le plus chaleureux avec moi…Les musiciens étaient vraiment stupéfaits de cet accueil. Je croise les doigts pour y retourner encore une fois. 

Au plaisir de ses auditeurs, Eric La Garenne s’exprime à cœur ouvert sur maints sujets 9 - Le Progrès Egyptien

• Le Progrès Egyptien : Quel conseil donneriez-vous aux jeunes artistes qui souhaitent se lancer dans la musique ?

➢ Eric La Garenne : C’est difficile de leur donner vraiment des conseils. A l’époque actuelle, pour se lancer dans la musique c’est assez compliqué. J’ai vécu financièrement de la musique, pas complètement, j’avais des ressources à côté. Pratiquement, durant ma carrière, j’ai des amis qui n’ont pas été célèbres, qui ne sont pas rentrés dans le show business et par conséquent, ils ont eu beaucoup de difficultés financières parce qu’ils n’avaient que la musique. Je pense qu’aujourd’hui l’idéal serait de faire la musique par passion : composer, jouer, chanter ou tout l’ensemble, tout en ayant un métier en parallèle. Il y a tellement de gens qui veulent faire de la musique alors qu’il n’y a pas de place pour tout le monde. Il y a une sélection très stricte voire dure, et c’est le public qui décide en fait. On tient dans le temps ou on ne tient pas. Si l’on a une passion, il faut la vivre. La musique est un moyen de décompresser. Je ne veux pas encourager les jeunes de manière irréaliste. Pour faire de la musique leur métier, je leur dirai de faire bien attention pour ne pas finir dans la misère. 

Tout le monde n’en fait pas de carrière extraordinaire. Pour ma part, je suis en marge du show business même si je m’y suis frotté à deux ou trois reprises, mais c’est un milieu qui ne me plaisait pas pour pas mal de sujets. J’ai décidé de faire mon parcours seul à la force du poignet. Quand je dis seul, j’ai quand même de bonnes connaissances. Il y a beaucoup de gens qui m’ont aidé comme mon ami égyptien, Essam Abdel Fattah, par amitié parce qu’ils croyaient en moi. Ils n’étaient toujours pas des professionnels. Avoir des connaissances, c’est très important. 

• Le Progrès Egyptien :  Comment gérez-vous l’équilibre entre votre vie personnelle et votre carrière musicale ? Quelles sont vos passions en dehors de la musique ?

➢ Eric La Garenne : C’est vraiment très compliqué. Quand j’ai commencé à devenirchanteur professionnel, j’avais déjà 35 ans. J’avais un enfant qui avait 7-8 ans. Il avait besoin de son père alors qu’on me faisait des propositions d’aller à l’étranger, au Maroc en l’occurrence, dans un village de vacances pour une durée de six mois, une proposition qui aurait pu m’apporter quelque chose. J’ai décliné cette offre parce que je ne pouvais pas emmener mon fils. A l’époque, je l’élevais aussi car sa mère était sur les routes. Ce n’était pas simple. Je ne voulais pas le laisser à mes parents. Comme il ne voyait pas sa mère tous les jours, il avait besoin de son père. Entre la vie personnelle, privée et la carrière, à unmoment, il faut faire des choix. Je ne le regrette pas. Dans la musique ce n’est pas comme quelqu’un qui travaille dans un commerce, on n’a pas de plan de carrière. Comme les comédiens et les musiciens, les chanteurs n’ont pas de guide, c’est un peu le jour au jour. Cela évolue en fonction des rencontres. On réussit souvent sa carrière au détriment de sa vie personnelle. Maintenant, j’essaie de m’occuper de mes enfants le plus possible. Ils me suivaient parfois dans mes concerts. J’ai un fils qui est chorégraphe. Il m’a suivi quand j’étais chanteur dans une troupe de danses, french cancan…A ma grande surprise, il y a quelques mois, je l’ai vu chanter…c’est quelque chose qu’on a dans le sang. Si l’on fait ce métier pour être riche ou pour devenir star, ce serait assez compliqué, il faut vivre sa passion, c’est sûr.

En dehors de la musique, j’ai toujours aimé le sport, le vélo, le foot. J’aime aussi la pêche et les voyages. J’aime bien découvrir l’autre, d’autres continents. Je suis un peu un aventurier avec un peu les pieds sur terre. Je crois beaucoup aux signes, moi je suis Cancer. Et le Cancer aime le sérieux mais après il se lance dans certaines aventures qui peuvent lui coûter un peu cher. Je m’intéresse à l’humain et à la politique aussi même si elle me déçoit de plus en plus. Comme je suis un troubadour qui défend certaines causes, on m’a affublé d’un titre qui m’a vraiment fait plaisir il y a quelque temps « un citoyen du monde ». C’est quelque chose qui a marqué mon passage sur cette terre. « Citoyen du monde », qu’est-ce que je pouvais espérer de mieux !

Au plaisir de ses auditeurs, Eric La Garenne s’exprime à cœur ouvert sur maints sujets 11 - Le Progrès Egyptien

• Le Progrès Egyptien : Au fil de vos tournées, vous avez eu l’occasion de vous produire dans divers pays. Y a-t-il un public en particulier, dans un pays ou une ville, qui vous a marqué ou avec lequel vous avez ressenti une connexion spéciale ? Pouvez-vous nous parler de cette expérience ?

Eric La Garenne : Le public de Damanhour m’a laissé une trace indélébile. Il y a eu une connexion très spéciale parce qu’ils m’ont prisdans les bras et m’ont pris en photo. C’était un moment très fort, très émouvant. J’ai vécu quelque chose que je n’oublierai jamais, tellement c’était agréable. 

J’ai eu aussi une connexion avec le public albanais. J’ai chanté au théâtre national de « Tirana ». Normalement, ce n’était pas gagné d’avance parce que les gens dans ce théâtre ne comprenaient pas le français et là j’ai eu très peur et le directeur du théâtre lui aussi avait très peur. Au départ, je devais chanter toute la soirée, puis il m’a fait réduire les chansons et m’a amené des artistes albanais, donc on était plusieurs à partager la scène et je devais passer le dernier. En fait, le directeur a été assez pessimiste. Là, je me suis dit que je vais jouer sur le visuel, il y en a qui comprenait quand même mais pas complètement. J’ai dû chanter un peu plus lentement. Puis, il s’est passé une chose assez formidable. Comme je vous le disais tout à l’heure, je joins le geste à la parole, j’ai réussi à attirer l’attention et l’admiration de ce public non francophone. Dans les coulisses, le directeur m’a remerciéen disant qu’il ne croyait pas que le concert se passerait comme ça et qu’il était désolé d’avoir raccourci mon programme.

Pour conclure, j’ai eu également un échange grâce à l’UNESCO avec laquelle je travaillaisavec un groupe mongol qui interprétait des chants traditionnels. Il ne s’agit pas là d’une connexion avec un public mais avec ces chanteurs mongols avec qui je suis toujours en relation. Quand ils ont vu que je les aidais, que je chantais sur scène avec eux, ils m’ont accompagné …Avec eux, il s’est passé l’osmose, il s’est passé une connexion tellement spéciale que quand on a défiléensemble lors d’un festival du chant du monde en France, ils m’ont mis en tête avec le drapeau de la Mongolie entre les mains. Ils voulaient même me faire l’ambassadeur de France en Mongolie !

Au plaisir de ses auditeurs, Eric La Garenne s’exprime à cœur ouvert sur maints sujets 13 - Le Progrès Egyptien

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