Lionel Messi (PSG / Argentine), 613 points
La septième merveille de “Leo”. La moins belle? Peut-être, mais Messi est encore un peu plus entré dans l’histoire du football lundi en remportant un nouveau Ballon d’Or.
Malgré une année pas vraiment flamboyante, l’attaquant du PSG a permis à l’Argentine de remporter la Copa America. Un objectif qu’il s’était fixé depuis le début de sa carrière.
En club, la Pulga n’a pas vraiment brillé, sortie en 8e de finale de Ligue des Champions avec le Barça, puis battu par l’Atlético de Madrid en Liga. Avec Paris, le bilan est encore mitigé. Mais la capitale était placée sous son signe lundi soir.
Cristiano Ronaldo (Man. United / Portugal), 178 pts
Quand on parle Ballon d’Or, il n’est jamais bien loin. Même à 36 ans, même en changeant de club, Cristiano Ronaldo reste un joueur à part. Meilleur buteur de Serie A, meilleur buteur de l’Euro, désormais recordman du nombre de buts marqués en sélection, CR7 a encore laissé sa marque en 2021 malgré un Euro décevant collectivement.
Son transfert à Manchester United à la toute fin de l’été a rallumé une flamme que l’on pensait éteinte, pour notre plus grand bonheur. Dans le marasme mancunien, il reste le sauveur ultime, celui sur lequel on peut toujours compter. Absent lundi, le Portugais a terminé au pied du Top 5, son pire classement depuis 2010, où il avait également terminé 6e. Un autre temps.
Mohamed Salah (Liverpool / Egypte), 121 pts
Son début de saison extraordinaire a rappelé à tous qu’il reste l’un des tous meilleurs. Mais Mo Salah partait sans doute de beaucoup trop loin pour égaler sa magnifique 5e place de 2019. Avec une équipe de Liverpool en grande difficulté en Championnat et stoppé dès les quarts de finale par le Real Madrid.
Pour le reste, Salah a livré sa partition habituelle : de la vitesse, des crochets supersoniques et des buts, encore et toujours. Pas de raison que ça change mais, en 2022, entre une CAN à reconquérir pour l’Egypte, une Premier League très ouverte, une C1 alléchante et un possible participation au Mondial (l’Egypte est en barrages, NDLR), les défis seront nombreux.