Dans sa dernière édition du rapport “Migration and Development Brief” récemment publié, la Banque Mondiale s’attend à ce que les envois de fonds vers les pays à revenu faible et moyen augmentent fortement de 7,3% pour atteindre 589 milliards de dollars en 2021. La banque a indiqué que cette augmentation est due à la forte amélioration des flux vers l’Égypte (12,6% à 33 milliards de dollars) et le Maroc (25% à 9,3 milliards de dollars), de même qu’à la migration de retour et la migration de transit, ce qui sert à la réalisation de ces résultats positifs. L’Egypte va de l’avant Le gouvernement égyptien va de l’avant dans la deuxième vague de réformes structurelles visant à atteindre plusieurs objectifs, dont notamment le fait d’offrir davantage d’opportunités au secteur privé pour participer au développement, a affirmé la ministre de la Coopération internationale, Dr Rania Al-Machat. Dr Al-Machat s’exprimait lors de sa rencontre avec Ian Bremmer, fondateur et président d’Eurasia Group, et l’un des penseurs politiques américains les plus éminents concernés par la politique étrangère, les risques mondiaux et les affaires des pays en transition politique, qui a participé aux activités du Forum de Bloomberg sur les nouvelles économies, qui s’est tenu à Singapour du 16 au 19 novembre, selon un communiqué publié samedi par le ministère. Comprendre les risques liés à l’investissement Au cours de la rencontre, la ministre de la Coopération internationale a discuté de la coopération avec le groupe, qui œuvre pour aider les investisseurs et les décideurs dans le domaine des affaires à comprendre les risques liés aux investissements et à ouvrir des perspectives d ’ o p p o r t u n i t é s d’investissement sur les marchés étrangers émergents et développés. Dr Al-Machat a passé en revue les axes de réforme économique que l’État a mis en œuvre au cours des sept dernières années.