La commission d’enquête parlementaire américaine, qui tente de savoir ce que Donald Trump et son entourage savaient de l’attaque du 6 janvier dernier, veut forcer le chef de cabinet de l’ancien président à venir témoigner devant elle, selon leparisien.fr. « Nous sommes assiégés ici au Capitole. » « Mark, les manifestants prennent littéralement d’assaut le Capitole, cassent les fenêtres des portes, se précipitent. Trump va-t-il dire quelque chose ? » « Nous sommes tous impuissants. » Ce 6 janvier 2021, des législateurs affolés bombardaient le dernier chef de cabinet de Donald Trump de textos. Demandant que le président des États-Unis appelle au calme alors que ses partisans attaquaient le Capitole, siège du pouvoir législatif fédéral, pour empêcher que soit validée la victoire de Joe Biden au scrutin présidentiel. Des personnalités de Fox News et des juristes y allaient aussi de leurs commentaires. Et Donald Trump Junior, le fils aîné du président conservateur, qui était le plus direct : « le Président doit intervenir au plus vite », « nous avons besoin d’une allocution du Bureau ovale. Il doit diriger maintenant. C’est allé trop loin. Et devenu incontrôlable ». Et même un « il doit condamner cela dès que possible.
Le tweet de la police du Capitole ne suffit pas » qui avait obtenu cette réponse de Meadows : « Je pousse fort. Je suis d’accord ». Une partie des éléments que Donald Trump et son entourage s’évertuent à vouloir cacher depuis des semaines a été dévoilée hier soir par la commission d’enquête parlementaire sur les évènements du 6 janvier dernier, qui ont fait quatre morts, plus de 140 blessés et choqué l’Amérique.