Pour les spectateurs, c’est l’occasion de profiter d’une gratuité totale, mais cela constitue bien sûr un sérieux manque à gagner pour les diffuseurs officiels. Certaines diffusions en direct réunissent ainsi des milliers de spectateurs sur les réseaux sociaux. Et généralement, lorsqu’un canal de diffusion est fermé, un autre ouvre dans la foulée.Selon l’ARCOM, plus de 25 % des spectateurs regardant le sport de manière illégale passent par les réseaux sociaux.