Une compétition évidemment, puisque les artistes devaient dévoiler leurs talents sur une petite surface. Une superficie d’œufs -tout petits- qui prouve l’agilité du dessinateur et de sa capacité à s’amuser et à se valoriser. Ladite compétition avait pour objectif de briser la routine triste et infernale imposée par le Coronavirus. Elle a été initiée par la Maison Galal (Beit Galal), sise au centre-ville du Caire, à Tahrir. Les amateurs d’art, de sculpture, de caricature, de dessin animé et de cinéma, plus de 30 artistes ont participé à ladite compétition dont Kamal Gabr, Mohamed Abla, Galal Gomaa.
Y étaient aussi présents d’autres artistes égyptiens et arabe, notamment Lotfi Abou Séria qui a fait revivre la Nubie, les artistes Raghdaa et Naglaa Souleimane qui ont fait un dessin inspiré par la civilisation pharaonique, et un couple d’artistes irakiens.
Bref, la vie, malgré la Covid-19, peut être joviale et une source d’espoir.