La 27e Conférence de l’ONU sur le climat (COP27) qu’abritera Charm Al-Cheikh en novembre prochain, a pour objectif de faire en sorte que les engagements soient transcrits en actes et que l’accord de Paris soit appliqué.
Ainsi importe-t-il de mobiliser la communauté internationale sur les questions de l’action climatique. En fait, l’Afrique est le continent le plus impacté par le changement climatique qui y constitue une menace existentielle. Il est donc impératif de permettre aux Etats africains de tirer profit de leurs richesses.
La COP27 se tiendra au moment où le monde affronte des défis consécutifs comme les crises énergétique et alimentaire qui se répercutent sur de nombreux pays en voie de développement.
Il n’est plus possible que les engagements pris pour la lutte contre le changement climatique traînent davantage en longueur vu qu’il s’agit d’une question existentielle. Raison pour laquelle il est primordial de traduire l’accord de Paris dans les faits sur la base des principes régissant l’action climatique comme la justice climatique, les responsabilités communes mais différenciées et la disparité des capacités.
Il importe de souligner que l’Egypte s’est engagée à faire tout son possible pour réduire les émissions de gaz à effet de serre afin de faire face aux répercussions du changement climatique, à l’occasion de la célébration du 30e anniversaire du Sommet de la Terre.
Il s’agit d’une étape très importante qui nécessite des efforts conjoints afin de relever les défis et tirer parti des engagements et des résultats obtenus lors de la COP26 à Glasgow.
L’accueil par l’Égypte de la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP27) en cette fin d’année témoigne de son intérêt pour la question du changement climatique et des répercussions qui en découlent.