Après le mariage, certains couples expriment des sentiments d’étouffer. Les hommes cherchent leur espace et essaie de s’éloigner mais sans être séparé de leurs femmes. Entre le couple, il existe une dispute entre deux désirs contradictoires : le désir d’unité et le désir de liberté.
C’est un fait, les couples qui s’accordent le plus de liberté individuelle ont moins de risques de faire face à une baisse. Toi + moi = nous. Mais où est passé le “je” ? Pour ne pas se perdre dans son couple et le nourrir sans l’épuiser, une seule solution : cultiver la bonne distance et affirmer son identité, selon pscycholgies.com. Les thérapeutes de couple le confirment : quand on étouffe dans son couple, on n’est plus en mesure d’y voir clair dans ses sentiments. Parce que l’on a perdu son désir, son énergie.
Il est important de chercher la juste distance entre le couple. La question qui se pose : Comment rester unis et conserver notre liberté conjugale ? Voici trois règles à suivre !
Rester deux et pas un
Il est important de s’accorder du temps chacun pour soi. Il faut absolument accepter de s’éloigner l’un de l’autre, et s’adapter aussi à cette nouvelle situation. Dans un couple, les partenaires échangent, communiquent, partagent un quotidien, mais ils n’ont pas à renoncer à leur personnalité propre pour devenir en quelque sorte dépendants de l’autre. Il est donc important que chacun reste indépendant.
Discuter sans disputer
Si vous arrivez à un point d’étouffement pénible. Essayer de ne pas disputer mais discuter pour en revenir à une vie équilibrée, lui faire comprendre que quelque chose doit changer, l’amener à travailler sur lui-même, pour son bien-être d’abord, puis pour le bien-être dans le couple.
Éviter les sacrifices
Parfois quand on aime quelqu’un, on donne beaucoup et dans certains cas, on se sacrifie au niveau des activités, par exemple, on abandonne nos amis et nos activités pour son couple. Le sacrifice est une forme de chantage qui finit toujours par empoisonner l’intimité du couple. De manière générale, faire systématiquement des concessions pour faire plaisir à l’autre aboutit au contraire à ce que l’on souhaite. On s’emprisonne dans une personnalité d’emprunt – à force de céder, de se couler dans le désir de son partenaire, sait-on encore qui on est et ce que l’on désire ? – et on finit par l’étouffer sous le poids de nos pseudo-sollicitudes.