Il est indispensable de rappeler, de prime abord, que les histoires coraniques des femmes prestigieuses témoignent, sans préjudice, que le Noble Coran est un livre tout à fait équitable. Puisque, toutes les histoires de ces femmes précédaient l’époque du Prophète Muhammad (pbAsl) de nombreuses décennies. Cela est une preuve de l’authenticité et de la véracité de ce livre sacré, car le Prophète n’aurait su ces faits historiques que par la révélation coranique. D’où, on peut déduire qu’Allah, Exalté Soit-Il, n’a pas opprimé les femmes ni avant l’Islam, ni après son apparition, selon l’Observatoire d’Al-Azhar.
Āsiyah : Une femme pleine de miséricorde
Elle vivait sa croyance en Allah et Moïse en secret. Lorsque Pharaon l’apprit, il décida de la torturer, mais cette torture ne l’affecta point. On rapporte d’après Abū Hurayrah (qu’Allah soit satisfait de lui) a dit : « Pharaon attacha les mains et les pieds de Āssiyah à des pieux en les exposant au soleil ». « Le troisième jour, les soldats de Pharaon prirent un rocher et le jetèrent sur Āsiyah mais avant qu’il ne l’écrase Allah lui montra sa maison au Paradis et lui prit son âme. Au moment où elle était torturée, le Prophète Moïse passait. Elle lui dit qu’elle avait très mal aux doigts.