Affronter en demi-finale les Italiens, surpuissants champions d’Europe en titre soutenus par 11.000 tifosi hier jeudi à Rome, avait de quoi intimider plus d’une équipe, mais pas les Bleus, jamais aussi bons qu’avec le statut d’outsiders et dans les ambiances de feu.
C’était un classique du volley international, une affiche qui faisait des étincelles entre deux équipes spectaculaires, un choc souvent de bon augure pour son vainqueur.