« Le premier ministre Abiy Ahmed cherche à contrôler l’eau du Nil Bleu. C’est une affaire sans précédent dans l’histoire des rivières transfrontalières. », a renchérit M. Ezzat Ibrahim, rédacteur en chef d’Al-Ahram Weekly au Progrès Egyptien.
A noter que l’Egypte a soumis l’affaire du Barrage éthiopien Renaissance au Conseil de sécurité en raison de l’intransigeance du régime éthiopien qui fait fi du droit international. Le Conseil de sécurité se réunit jeudi 8 juillet autour du Barrage de la Renaissance, le ministre des Affaires étrangères, M. Sameh Choucri est actuellement à New York pour expliquer la position de l’Égypte.