Lewis Hamilton, septuple champion du monde de Formule 1, qui vit de son propre aveu l’une des saisons les plus “dures” de sa carrière, a jugé mercredi que terminer l’année sans victoire ne serait toutefois pas “la fin du monde”. “Il reste six courses, donc six opportunités de victoire”, a déclaré le Britannique, qui a toujours remporté au moins un Grand prix par saison depuis ses débuts en F1 en 2007. “Mais si nous n’y arrivons pas, ce n’est pas la fin du monde. On reviendra au top”, a poursuivi le pilote Mercedes à Kuala Lumpur, en Malaisie, à l’occasion de la reconduction jusqu’en 2029 du partenariat entre le constructeur allemand et la compagnie pétrolière Petronas.