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Home Vision d’Egypte

Faten Hamama, la magie d’un cinéma aux arômes particuliers

par Le progres Staff
July 14, 2023
in Vision d’Egypte
Faten Hamama, la magie d’un cinéma aux arômes particuliers 1 - Le Progrès Egyptien
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Etre fasciné par le passé, par ce mystérieux passé est probablement l’un des maux dont souffrirait à jamais notre espèce humaine. Et, dans l’art, comme ailleurs, tous espèrent prendre la machine du temps, s’embarquer vers le passé et le revivre avec ses moindres détails. Rien n’équivaut à cette magie qui émerge comme un miracle au milieu de notre vécu quotidien. D’ailleurs, le cinéma noir et blanc ne fait pas exception à la règle : telles les parties d’un piano, elles savent ressusciter en nous cette nostalgie. La nostalgie d’un passé glorieux, tendre et surtout fascinant.

Par Dr Nesrine Choucri

Faten Hamama, la magie d’un cinéma aux arômes particuliers 3 - Le Progrès Egyptien

Qui de nous n’aime pas regarder les films cinématographiques qui remontent aux années 40, 50 et 60 ?! Ils deviennent parfois notre cure face à un monde dur et souvent incompréhensible. En 2022, le site d’informations de RTBF avait mis l’accent sur le goût particulier de ce cinéma d’antan qui serait en train de faire un retour à pas lent : « La couleur ? Démodée. C’est le noir et blanc qui a désormais la cote à Hollywood, avec des films comme “Belfast” et “The Tragedy of Macbeth” tous deux en compétition aux Oscars dimanche soir.Le film inspiré à Kenneth Branagh par son enfance nord-irlandaise et l’adaptation de Shakespeare signée par Joel Coen ne sont que les dernières œuvres en date à avoir décidé de se passer de couleur, pour accentuer la perspective historique du récit ou privilégier l’aspect humain et intime ». RTBF a mis en avant aussi les propos du réalisateur de Belfast qui a essayé d’expliquer la valeur du cinéma noir et blanc et pourquoi a-t-il autant d’impact sur les spectateurs. La couleur vous permet de décrire magnifiquement les gens, mais le noir et blanc vous permet de les ressentir”, a expliqué Kenneth Branagh à propos de “Belfast”. Même si “un somptueux paysage de désert ou de chaîne de montagnes” peut être rendu de manière sensationnelle grâce à la couleur, “c’est le visage humain qui prend une dimension exceptionnelle avec une photographie en noir et blanc, sur un écran géant”, poursuit le réalisateur.Ce choix “donne une dimension poétique à des choses qui autrement pourraient sembler un peu banales”, a-t-il développé. 

Faten Hamama, la magie d’un cinéma aux arômes particuliers 5 - Le Progrès Egyptien

Des films en noir et blanc ont certes continué à être tournés régulièrement et à connaître le succès depuis que la couleur a pris le dessus dans les années 1950. En 2012, “The Artist”, non seulement en noir et blanc mais aussi muet, avait triomphé aux Oscars en remportant le prix du meilleur long-métrage. Mais, une chose est sûre avec notre rythme quotidien endiablé et trépidant, les crises actuelles, l’excès de technologie, beaucoup cherchent un refuge dans ce qui présentait l’art du passé. N’oublions pas que les films noir et blanc dépendent en premier lieu de la capacité de l’acteur et de son côté expressif, alors que dans le cinéma moderne en couleurs, en plusieurs dimensions, ce n’est pas le talent qui compte autant que les effets sonores, visuels et les couleurs. Peut-être que l’Humanité aurait-elle besoin de faire un retour vers ce moment très particulier du cinéma sans couleurs lorsque les yeux, les traits du visage et l’effet de théâtralité étaient omniprésents.

Faten Hamama, la magie d’un cinéma aux arômes particuliers 7 - Le Progrès Egyptien

En tout cas, d’ici là, le Progrès Egyptien vous offre une vue panoramique des artistes du cinéma noir et blanc qui avaient un visage très expressif et apte à transmettre des sentiments humains authentiques et profonds. Le cinéma des années 50 et 60 avaient son arôme particulier : un arôme qui a permis à toute une génération de créer les films cultes du cinéma égyptien. A commencer par la star du cinéma muet Fatma Rouchdi, en passant par Madiha Yousri et en arrivant à une génération auréolée qui a su donner aussi bien au cinéma qu’à l’Egypte toute sa particularité. Il s’agit de la génération de Magda, de Chadia ou encore de la grandissime Faten Hamama. Ces noms ont d’abord choisi de présenter à leur public des idées souvent avant-gardistes, mais encore sont réputés par leur visage expressif et leur interprétation de rôles inoubliables. La dernière a eu une longue carrière depuis l’enfance jusqu’à la vieillesse et a souvent présenté des rôles en défense des droits d’Eve. Ses films en noir et blanc ou encore en couleur mettent en relief une actrice hors pair. L’actrice emblématique est née le 27 mai 1931 et est décédée à l’âge de 84 ans le 17 janvier 2015. La carrière de Faten Hamama aura donc une grande longévité, durant 60 ans entre “Une journée heureuse » et sa dernière série télévisée en 2001, « La face de la une ».Faten est probablement l’actrice arabe, et peut-être internationale, qui a le plus profité du monologue. C’était vrai à tel point que les réalisateurs, en particulier Ezz El-Din Zulfikar et Henry Barakat, formulaient généralement la structure dramatique et la narration de ses films via la technique du flashback, et dépeignaient également le conflit intérieur de l’héroïne pour bénéficier de ce talent particulier.Dans le film « Prière du Rossignol » ou « Appel du courlis » de Barakat a eu un impact immense sur la force dramatique du film et sa capacité à créer un air de mystère autour du personnage de Faten, ou plutôt Amna, et a créé l’atmosphère tendue et pleine de suspense qui domine ce film bien ficelé.Un certain nombre de réalisateurs ont contribué à la grandeur artistique de Faten, laissant leur marque sur sa personnalité artistique.Elle a absorbé toutes ces contributions et extrait l’essence de leur pensée cinématographique, ajoutant ce qu’elle savait de façon innée et ce qu’elle a acquis par la conscience. Ainsi, elle est devenue un cas exceptionnel parmi les actrices de cinéma. El-Imam était le prince de ce genre et son porte-drapeau.Il est vrai que leur premier film ensemble, Des anges en enfer (1946), était le septième film de Faten. Il est également vrai qu’elle a rencontré la même année un autre prince du mélodrame, Youssef Wahbi, dans le premier de leurs cinq films ensemble, « Ange du merci ».Dans les 12 films qu’El-Imam a réalisés et mettant en vedette Faten, en commençant par « Des anges en enfer » et en terminant par « Le miracle » (1962), la dame du grand écran n’a pas rompu avec le moule de la fille au cœur brisé et de bonne humeur qui souffre à la suite d’incidents alambiqués et d’étranges coïncidences, ainsi que de l’oppression de la vie et de l’injustice des autres – tous sauf le dernier film.Avec Youssef Chahine qui s’est rebellé contre le cinéma dominant de l’époque, Faten Hamama s’est envolée vers des sommets plus élevés. Cela était clair dans ses films « Conflit dans la vallée » (1954) et «  Conflit dans le port » (1956).Dans le premier film, Faten dépeint la fille d’un pacha, une fille choyée qui passe sa vie à veiller tard le soir, à voyager et à profiter du luxe de la vie. Elle tombe amoureuse d’un jeune homme pauvre, soutient sa cause et s’oppose à l’injustice et à la puissance de sa classe. Alors qu’elle était la fille d’un pacha qui croyait à la juste cause des habitants de son village dans « Conflit dans la vallée », Chahine renverse la donne dans « Conflit dans le port ». Dans ce film, Faten devient une fille ordinaire qui aspire à la vie aristocratique à travers une relation avec le fils d’un des pachas du port. Chahine a ainsi pu extraire de l’actrice des potentialités d’actrice qu’elle ignorait posséder. Il est vrai que les deux films ont eu quelques incidents mélodramatiques, mais Faten Hamama était différente avec Chahine. Dans l’univers cinématographique de Kamal Al-Sheikh, il n’y a pas de place pour les héros. Selon Al-Sheikh, le héros est l’histoire compacte qui sert son genre cinématographique préféré, c’est-à-dire les thrillers.Parce qu’il n’adapte pas les rôles en fonction des capacités de ses héros, il a toujours besoin d’acteurs aux capacités élevées qui peuvent interpréter ce qui est écrit dans le scénario. Dans ce contexte, Kamal Al-Sheikh avait besoin d’une actrice de calibre de Faten Hamama. Cela explique peut-être pourquoi Faten a donné des performances élogieuses dans ses six films avec Al-Sheikh. Par exemple, dans son premier film, « La Maison numéro 13 » (1952), Faten joue une femme observant avec tension le sort de son mari psychologiquement malade après qu’il a été recruté par son médecin pour commettre un meurtre ; lorsqu’elle tente de le sauver, elle risque d’être victime d’un nouveau crime. Cette performance éclatante se poursuit clairement dans ses autres films, comme « Je veux confesser », qui appartient au genre policier, et « La dernière nuit », un thriller psychologique. Même dans La Dame du Palais de 1958, dans laquelle Al-Sheikh abandonne son genre de prédilection, Faten Hamama incarne une fille ordinaire qui possède la force et la volonté de purifier son mari des maladies de la classe aristocratique à laquelle il appartient.En tout cas, Hamama s’est démarquée dans ses rôles en noir et blanc ainsi qu’en couleurs. Et, elle a su graver son nom dans l’histoire du cinéma égyptien.        

 

Faten Hamama, la magie d’un cinéma aux arômes particuliers 9 - Le Progrès Egyptien

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