Dimanche 24 septembre, maires, conseillers départementaux, régionaux et autres députés devront renouveler la moitié du Sénat, soit 170 sièges.
Un scrutin à suffrage indirect qui n’échappe pas aux tensions politiques actuelles, en particulier au sein de la Nupes, rapporte RFI. Pour la première élection depuis la création de l’union de la gauche et des écologistes, les partis membres n’ont pas réussi à renouveler l’accord des législatives. Avec un grand perdant : la France « C’est frustrant, parce qu’on aurait pu poursuivre cet élan de la Nupes, y compris au Sénat. »
Dans les rues de Chantilly, la cheffe de file des Insoumis dans l’Oise, Marianne Seck, fait part de son incompréhension. Socialistes, communistes et écologistes du département ont en effet décidé de s’unir sans elle pour l’élection sénatoriale.
« Ce sont les mauvaises méthodes de nos partenaires qui, historiquement, font des comptes d’apothicaire quand il s’agit d’élections », déplore-t-elle au micro d’Aurélien Devernoix, du service Politique de RFI.