Un accord fut conclu entre le ministère de l’Environnement et les gouvernorats du Caire, de Guiza et de Qalioubiya pour l’application du programme de gestion de la pollution de l’air et du changement climatique.
Les ministères des Transports, de la Santé, du Plan font aussi partie de l’accord. Il est à rappeler qu’un accord de prêt fut signé avec la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD) d‘une valeur de 200 millions de dollars pour la gestion de la pollution de l’air et du changement climatique au Grand Caire.
Le but est de réduire les émissions atmosphériques et l’effet de serre et d’améliorer la gestion des déchets. Le nouveau programme a pour but de moderniser le système de surveillance de la qualité de l‘air et de renforcer la capacité de la population du Grand Caire à faire face à la pollution.
Le projet vise également à renforcer la gestion des déchets solides, à réduire les émissions des moyens de transport en encourageant les transports électriques. En fait les efforts de détection de la pollution de l’air sont intensifiés en mesurant le taux des polluants et des émissions. Ceci afin de préciser les zones les plus polluées et fixer les programmes nécessaires pour limiter la pollution. Ces efforts sont déployés en coordination avec les partenaires de développement pour mettre en place des programmes d’amélioration de la qualité de l’air et de lutte contre le changement climatique.
Le réseau national de détection de la qualité de l’air renferme 109 stations de détections réparties sur les quatre coins du Territoire. Ces dernières détectent la qualité de l’air, l’état écologique et sanitaire de chaque zone et fournissent les informations nécessaires aux décideurs pour adopter les mesures pouvant contribuer à l’amélioration des conditions économique et écologiques.