Livre sacré, le Coran apprend les préceptes de l’Islam à travers des histoires qui révèlent aux fidèles le bon chemin. Dans ses histoires, les êtres humains comme les autres créatures ont une place importante. Ce qui montre que notre planète est construite sur de bonnes bases bien établies et bien mesurées par Dieu le Tout-Puissant.
Le Progrès Egyptien vous révèle aujourd’hui deux histoires parmi celles-ci dont les héros sont des animaux. C’est ce qui d’ailleurs révèle que l’Islam est surtout une religion ouverte aux autres et très tolérante.
La fourmi dans le Coran
Ce que l’on peut remarquer, c’est que certains parmi les animaux dans le Coran sont reliés à des prophètes. En effet, la fourmi est citée dans le Coran trois fois dans le même verset, www.islam-oumma.fr.
Elle est située dans la sourate qui porte d’ailleurs son nom, la sourate « La fourmi ». En arabe, il s’agit de la sourate « An-naml ». Cette fois, c’est avec le prophète Souleymane (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui) qu’il y a eu une histoire avec la fourmi :
Allah a dit : « Quand ils arrivèrent à la Vallée des fourmis, une fourmi dit: « Ô fourmis, entrez dans vos demeures, [de peur] que Souleymane et ses armées ne vous écrasent [sous leurs pieds] sans s’en rendre compte. » S.27, v.18
La huppe dans le Coran
Le prophète Souleymane (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui) avait un don particulier : il comprenait les oiseaux. Parmi les animaux cités dans le Coran, il y a donc la huppe, qui était sous les ordres de Souleymane (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui).
La huppe est un oiseau particulier, car elle possède deux parties de couleurs différentes sur son corps. Son plumage du haut est plutôt roux, et la partie du bas est zébrée.
Ce qui lui donne son allure si particulière, c’est bien sûr la huppe qu’elle porte sur la tête. Elle tire son nom d’ici.
Allah dit, toujours dans la sourate « La fourmi », à propos de la huppe de Souleymane (paix et bénédiction de Dieu soient sur lui) :
« Puis il passa en revue les oiseaux et dit: « Pourquoi ne vois-je pas la huppe ? Est-elle parmi les absents ? » S.27, v.20.