La revue économique arabe « Al Iqtessadiya » a publié une caricature où elle critique le fait d’être « enchaîné » au petit écran durant Ramadan.
Au cours du mois béni, un grand nombre de téléspectateurs suivent, 24 heures sur 24, les feuilletons. Ils mettent de côté la spiritualité du Ramadan et se laissent attirer par des épisodes sans fins.
D’un feuilleton à l’autre, la journée se termine. Ils mangent leur iftar ensuite continuent à suivre de nouvelles séries jusqu’au sohour. Et ça reprend.
En arabe, le mot « mosalsal » désigne feuilleton. Le terme a pour origine le mot « selsela » qui veut dire « chaîne ». C’est pourquoi
la caricature illustre une dame enchaînée à un écran.