“Il n’y a rien dans l’histoire qui s’appelle… “la guerre de 67”” est un livre de El Sayed Hani, vice rédacteur en chef du quotidien El Gomhoréya et du Rédacteur diplomatique, un écrivain spécialisé aux affaires de l’Etat et membre du Conseil égyptien des affaires étrangères. Il a publié 4 livres à savoir: “témoin sur la guerre d’Afghanistan” en 2003, “Dr Mahatir m’a dit : les juifs gouvernent le monde” en 2012, “Les Américains l’avouent: le 11 septembre est fabriqué à la Maison Blanche” en 2013, et “Au Moyen Orient : la superstition écrit l’Histoire” en 2017.
Dans la dédicace de son livre, El Sayed Hani a écrit: “aux âmes des soldats égyptiens, soyez tranquilles, vos frères ont vengé à la guerre du 6 Octobre 1973. Ils ont tués et pris comme otage des milliers de soldats israéliens.
Aux âmes tranquilles des soldats égyptiens… je dédis ce livre”.
Dans le résumé de son livre, l’auteur El Sayed hani a lié un de ses articles publié le 4 juin 2007 au quotidien El Gomhoréya. Cet article a été source d’inspiration de plusieurs travaux artistiques.
Il écrit : “ les journaux arabes et internationaux ont publié ces derniers mois plusieurs rapports et analyses de ce qu’on nomme « la guerre de juillet 67 » à l’occasion de 40e ans de cet événement qui représente un tournant décisif dans l’histoire du Proche – Orient. Je crois qu’il n’y a rien dans l’histoire qui s’appelle « la guerre de 67 ». En revenche, l’évènement marquant lié à cette date est que les forces israéliennes ont agressé tous ce qui est égyptien, syrien et jordanien. Elles ont occupé une grande partie des territoires de ces trois pays. Parlant du côté égyptien, les forces égyptiennes n’ont pas eu l’opportunité de faire face aux forces israéliennes. Par contre un état de « confusion » dans la direction militaire égyptienne a eu lieu. Des ordres de retrait de Sinaï ont été donnés aux unités de l’armée égyptiennes. Pendant que les forces égyptiennes se retiraient, les forces israéliennes avançaient derrière elles. Aucune confrontation militaire n’a eu lieu entre le soldat égyptien et le soldat israélien. (…) Israël a profité de cette état de confusion pour faire propager l’idée de « la légende de l’armée israélienne invincible ». Une légende que le soldat égyptien a détruit en octobre 1973 ».