Les claquements secs des coups de pieds assénées par Sarah Chaâri à sa coéquipière résonnent sur les murs du centre d’entrainement du campus Erasme, en banlieue de Bruxelles. C’est là que la jeune athlète belge vient s’entrainer vingt heures par semaine, selon l’AFP.
A seulement 18 ans, elle est numéro un mondiale de taekwondo dans la catégorie moins de 67 kilos. Mais ses ambitions ne se limitent pas au sport: en deuxième année de médecine à l’Université libre de Bruxelles (ULB), elle tente de conjuguer des études particulièrement exigeantes avec sa carrière d’athlète. “C’est difficile d’allier les deux, ça demande une grande organisation pour trouver des moments pour étudier et pour aller m’entrainer”, explique Sarah Chaâri.