Par Farouk Gouéda

Al-Ahram

Dans sa rubrique «Marges Libres» publiée par le quotidien Al-Ahram, le grand écrivain Farouk Gouéda, a fait allusion à un livre récemment publié par le vice président du Conseil de l’Etat, Dr Mohamed Abdel Wahab Khafagui. Le livre a pour titre « La justice climatique illumine l’humanité depuis la terre de la civilisation et de l’Histoire ». Le livre porte sur une question parmi les plus importantes qui menace l’Homme de cette ère : le changement climatique. Question autour de laquelle est organisée la conférence mondiale qu’abrite Charm El Cheikh qui regroupe nombre de dirigeants et de présidents de pays de par le monde. Dans ce livre, le conseiller Khafagui indique que l’étude a porté sur nombre de questions dont notamment l’évolution du concept de la justice climatique, son fondement onusien, comment elle est devenue une partie prenante du dialogue mondial, ses principes, sa relation avec la politique. Outre les procès en matière du climat, le rôle des dirigeants dans la fixation des politiques climatique futures, les répercussions du changement climatique et leurs impacts sur les relations entre les pays. L’étude a été conclue par l’expérience égyptienne dans le domaine de la justice climatique (…) Khafagui affirme, par ailleurs, que la justice climatique n’implique pas seulement une réconciliation entre les Hommes et la Terre mais aussi une aide réciproque entre toutes les parties (…) Le livre constitue une étude juridique sérieuse et moderne qui discute des phénomènes qui menacent l’Homme face à des changements climatiques accentués. La question du changement climatique est au cœur des discussions à l’échelle mondiale car elle constitue une véritable menace à la vie des peuples. Pourtant, la science est jusqu’à maintenant incapable d’y trouver des solutions. Raison pour laquelle, la ville de Charm El Cheikh abrite ce rassemblement. L’objectif est de lutter contre le changement climatique qui menace l’avenir du monde en général et celui des pays pauvres en particulier. Ce livre constitue un ajout véritable dans la lutte contre cette crise, affirme Gouéda.