La participation de l’Égypte au sommet du G20, en Inde, constitue une étape importante pour attirer de nouveaux investissements, ont affirmé des économistes et des hommes d’affaires, signalant que cette participation ouvrait la porte à de nouveaux partenariats qui renforçaient la croissance économique de l’Égypte et de l’Afrique.
L’invitation de l’Égypte audit sommet, qui se tient dans des circonstances particulières, reflète le rôle pionnier du Caire en Afrique, au Moyen-Orient et dans le monde entier, et représente aussi une opportunité de tenir de nombreuses réunions bilatérales avec de nombreux pays importants pour l’Égypte dans la coopération économique et de développement, ce qui augmente le flux de capitaux étrangers vers l’Égypte, à l’ombre des tensions économiques et géopolitiques mondiales dont souffrent d’autres pays, a dit Abir Essam, présidente du Conseil arabe des femmes d’affaires, dans des déclarations exclusives à l’Agence de presse du Moyen-Orient (MENA).
La participation de l’Égypte constitue également une excellente occasion de présenter les points de vue économique et politique de l’Égypte et de l’Afrique aux décideurs économiques et politiques du monde entier, ce qui contribue à accroître les échanges commerciaux du Caire et à promouvoir la coopération internationale, vu que le G20 est le bloc économique le plus puissant au monde et comprend des milliers d’entreprises internationales qui gèrent des investissements à travers le monde, a-t-elle ajouté.
Cette participation constitue aussi une excellente opportunité pour l’Égypte de stimuler le commerce, l’investissement et les avantages compétitifs dont elle jouit dans l’industrie, et d’accéder à de nouveaux marchés, notamment à la lumière des tensions économiques et géopolitiques mondiales persistantes entre la Russie et l’Ukraine, a souligné Ahmed Al-Zayyat, membre de l’Association des hommes d’affaires égyptiens.






