Prénom : Saja
Nom : Mohamed
Âge : 13 ans
Année scolaire : Première préparatoire
Ecole : Saint Vincent de Paul
La nuit, c’est le vent qui murmure entre les arbres et fait bouger les feuilles douces qui cachent les secrets des gens qui passent devant eux. La lune, que tout le monde dit qu’elle lui ressemble et dont personne ne pense que sa beauté est supérieure à celle d’un humain émet de la lumière pour protéger les fleurs qui embaument de leurs magnifiques odeurs dans toute la forêt. Mais d’un autre côté, une ombre qui reste sur une chaise et qui sourit.Sous la forte pluie de l’hiver et dans le noir de la forêt, une jeune femme courait entre les arbres en pleurant. Du sang coulait de sa main comme des larmes. Son visage avait l’air volé par la peur. Elle courait mais elle a disparu loin dans la forêt.D’un autre côté, le détective Éran n’a pas laissé les villageois seuls un seul jour et essayait toujours de les rassurer. Mais malheureusement, les situations deviennent de plus en plus dangereuses. Les techniciens de la police scientifique ont découvert que dans le sang contenait la Scopolamine qui est une substance qui cause l’oubli.Éran n’oubliait personne car chaque jour il parlait avec sa femme et lui racontait les difficultés qu’il rencontrait. Mais sa femme lui disait : je t’aide avec mes recherches. J’essaie de trouver cette personne. Son amoureux lui disait toujours : “Éloigne-toi de mes problèmes.” Mais celle-ci lui disait : “Je suis et serai avec toi pour la fin de la vie.”Éran, qui avait une énorme inquiétude pour les villageois, décida de les protéger lui-même. Il leur demanda de ne pas sortir le soir et de crier à haute voix si quelqu’un essayait de leur faire du mal. Les villageois l’aimèrent et lui firent confiance.Mais la vie ne peut pas se contrôler car, le matin, Éran a reçu un appel de sa famille qui lui annonça que sa femme avait été tuée. Le détective avec un cœur déchiré, prit la voiture et partit rapidement vers sa maison. Le sang couvrait le sol de la maison. Sa femme était par terre avec quelques gouttes de larmes sur ses joues douces. L’odeur était dégoûtante et les derniers mots que sa femme lui avait dits résonnaient dans son oreille.La mère d’Éran , qui vivait avec sa femme, lui a dit : “J’étais dans ma chambre et soudain , j’ai entendu ta femme crier, mais c’était à minuit, donc j’ai gardé mon silence pour ne pas t’inquiéter. Mais elle m’a dit qu’elle avait presque trouvé où était la personne qui tue tous ces gens, et elle m’a dit qu’elle voulait t’aider.” Éran a senti que c’était lui le coupable.Les journalistes étaient devant sa maison pour en savoir plus sur ce qui s’était passait, mais l’un des journalistes voulait savoir plus de détails et questionna sur les gens du village et pourquoi Éran n’avait rien dit jusqu’à présent, et qu’est-ce qui l’empêchait d’affronter cette personne ? Mais Éran ne répondait à aucune de ces questions.C’est ça la vie : le gain et la perte, l’espoir de vivre qui se termine par la mort. Des images dans nos têtes et des souvenirs qui s’effacent doucement.
A suivre