Le saviez-vous ?
Les réglementations dans l’industrie et le secteur automobile ont conduit à une basse considérable des émissions polluantes nocives pour la santé humaine : dioxyde de soufre et d’azote, ozone, métaux lourds (notamment le plomb) ou encore particules en suspension. Mais une partie de ces émissions a un effet refroidissant sur notre planète.
Des chercheurs norvégiens ont récemment indiqué, dans une étude, que la baisse de la pollution, et donc la diminution de ces émissions, a représenté 40 % de l’augmentation de l’énergie responsable du réchauffement climatique entre 2001 et 2019, rapporte France 24.En suspension dans l’air, les particules polluantes réfléchissent la lumière du soleil vers l’espace, ce qui tend à réduire le réchauffement climatique.
Le dioxyde de soufre (SO2) est l’un des responsables de ces nombreuses particules en suspension rendant les températures mondiales plus fraîches.