En 1925, la ville du Caire a été choisie comme la ville la plus belle et la plus propre du bassin méditerranéen.
Le Caire a pu occuper ce classement grâce à un nombre de critères et de conditions, dont notamment :
1- La propreté des rues, qui sont lavées tous les soirs avec de l’eau et du savon, et aspergée d’eau deux fois par jour, tout comme les rues de la capitale étaient bien pavées et les puisards fonctionnaient bien.
Les trottoirs, étaient vides, permettant aux passants de s’y promener.
L’éclairage, les arbres et les îlots au centre existaient aux deux côtés des rues.
2- Les bâtiments de la capitale étaient exquis et élégants, les façades des boutiques étaient distinctes et homogènes.
Les places étaient larges et comportaient de nombreuses statues produites par les artistes les plus célèbres du monde.
3- La ville comprenait un certain nombre de jardins magnifiques, tels que: le jardin d’Azbakeia, le Zoo de Guizeh, qui regorge un groupe distingué d’animaux et d’oiseaux rares, considéré parmi les premiers zoos dans le monde, le Jardin d’Orman, qui comprend des arbres et des plantes rares, le Jardin d’Andalus, qui se distingue par un design privilégié.
4- Les quartiers résidentiels étaient bien repartis et le calme y régnait toujours. Les quartiers commerciaux étaient bien planifiés.
5- les moyens de transport étaient disponibles, propres et passaient régulièrement. Les employés qui travaillaient dans ces moyens de transport étaient très qualifiés, représentables, tout en ayant une bonne conduite.
Les systèmes de maintenance, de remplacement et de renouvellement, étaient bien organisés, les opérations d’aménagement et d’embellissement de la ville étaient effectuées continuellement.
Le Caire possédait une multiplicité et une diversité d’activités culturelles et récréatives, dont à priori étaient les musées et les théâtres.