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Home Actualité Nationale

L’Egypte entre dans l’ère du dessalement de l’eau

par Le progres Staff
August 6, 2021
in Actualité Nationale, National, News
L’Egypte entre dans l’ère du dessalement de l’eau 1 - Le Progrès Egyptien
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Avec l’essor économique, les besoins en eau du pays ne ces-sent d’augmenter. Le dessalement de l’eau de mer est une option adoptée par le gouvernement pour faire face au tarissement des ressources hydriques.

Le gouvernement égyptien peaufine sa «stratégie » en matière de dessalement de l’eau de mer.

Le président Abdel Fattah Al-Sissi compte décupler les installations pour faire face à la diminution des ressources en eau douce. Au moins 14 usines de dessalement devraient entrer en service en 2022.

L’Egypte entre dans l’ère du dessalement de l’eau 3 - Le Progrès Egyptien

En effet l’Etat a établi les plus grandes usines de dessalement, dans les gouvernorats frontaliers et les villes côtières, tout en inter-disant le transport de l’eau du Nil vers ces gouvernorats. Ces derniers souffraient déjà de maints problèmes concernant le transport de l’eau, par le biais de véhicules fluviaux soit-il ou bien par la mise sur place de nouveaux réseaux.

Ce phénomène provoque de nombreux dommages à ces réseaux, tels que l’explosion des lignes ainsi que leur rupture, ce qui conduit à un grand gas-pillage d’eau.

Le coût de production par mètre cube dans les usines de dessalement peut atteindre 15.000 LE, de même le coût d’établissement d’une usine de dessalement est 4 fois supérieur à celui d’une autre de purification d’eau ordinaire. Selon le vice-ministre de l’Habitat en charge du secteur des services publics, l’ingénieur Tareq Al-Rifaï, les usines de dessalement en Egypte sont destinées exclusivement à l’eau potable, et non à l’agriculture.

Il a ajouté que le but de la mise sur place des usines de dessalement de l’eau est de rationaliser la consommation de l’eau du Nil tout en l’économisant en faveur de l’agriculture. Pour sa part, le ministre de l’Habitat, Dr Assem El-Gazzar, a déclaré que les travaux sont en cours actuellement pour installer 14 usines de dessalement d’eau de mer, d’une capacité totale de 476.000 m3/jour, et d’un coût de 9,71 milliards de livres, dans les gouvernorats suivants : Matrouh, Mer Rouge, Nord-Sinaï, Sud-Sinaï, Port-Saïd, Dakahliya, Suez, Alexandrie.

Ces usines devraient être fonctionnelles à partir du 30/6/2022. L’ingénieur Tareq Al-Rifaï a révélé que les stations existantes sont au nom-bre de 63 d’une capacité de production totale de 799.000 mètres cubes par jour dans les gouvernorats du Nord-Sinaï, du Sud-Sinaï, de la Mer Rouge, de Matrouh, d’Ismaïlia et de Suez.

Il a souligné que le gouvernement, représenté par le ministère de l’Habitat, des Services publics et des Agglomérations urbaines, a récemment accordé un intérêt primordial à la maximisation de l’usage des ressources en eau disponibles et à la rationalisation de la consommation de l’eau, dans le cadre des efforts déployés par l’État pour préserver l’eau potable étant l’aliment de base le plus important de la vie. Le plan comprend les éléments suivants : fournir des sources alternatives aux eaux du Nil par le biais des stations de dessalement d’eau de mer et des stations d’eaux souterraines, réutiliser l’eau traitée en étendant l’établissement des stations de traite-ment des eaux usées.

Il importe de noter que la station de dessalement d’Al-Aïn Al-Sokhna est considérée comme la plus grande station de dessalement dans le monde. Elle purifiera 164.000 mètres cubes par jour, rendant ainsi service à la zone d’investissement et à la zone industrielle, au nord-ouest du Golfe de Suez.

Le président Al-Sissi, à la suite de sa visite à Singapour en septembre 2015, a annoncé la mise en place de cette station dans le cadre du projet de développement de l’axe du Canal de Suez.

Aussi a-t-on pu tirer profit de l’expérience singapourienne dans le domaine de la technologie de dessalement de l’eau, concernant les puits ou les mers, ainsi que la connaissance de la technologie utilisée dans le traite-ment des eaux usées et des drains agricoles.

 

Le mètre cube d’eau coûte 15.000 livres 

 

Quant à la nouvelle station d’Alamein, dont la capacité de production atteint 48.000 mètres cubes, elle fait partie des projets qui desservent une grande zone de population. Elle sert à augmenter le pompage d’eau potable pour la ville de Marsa Matrouh et ses banlieues, surtout pendant les mois d’été, étant donné que la ville accueille plus de 5 mil-lions de vacanciers.

Un grand nombre de pays sont pionniers dans ce domaine. Mohamed Sami, chef du secteur des études économiques et sociales au Centre de recherche du désert, a évoqué l’exemple des pays du Golfe qui dépendent complètement du dessalement de l’eau de mer. «Le coût par mètre cube d’eau dessalée est estimé à 15.000 livres, c’est pourquoi il n’est pas logique de l’utiliser à l’agriculture », affirme-t-il. Il a ajouté que l’eau dessalée peut être utilisée comme eau potable dans les zones éloignées et les villages touristiques. « On peut encore, dit-il, profiter de l’eau dessalée dans les serres agricoles puisqu’il ne nécessite pas l’usage d’une grande quantité d’eau ». Comme l’une des solutions pour faire face à la crise du Barrage de la Renaissance, les stations de dessalement d’eau de mer sont donc capables de combler le déficit qui résultent de cette crise, qui mènera à la réduction de la part d’eau de l’individu à 600 mètres cubes, ceci plus la surpopulation.

En effet, les ressources en eau de l’Egypte dépendent essentiellement de sa part des eaux du Nil et ensuite des pluies et des eaux souterraines, variant entre 4,5 à 6 milliards de mètres cubes par an.

Dr Ahmed Moawad, vice-président de la compagnie de mobilisation d’eau potable et d’assainissement, chargé du plan du gouvernement pour affronter la crise de la pénurie d’eau, tout en ayant recours à l’eau de mer, a souligné que le plan exige d’arrêter définitivement le transport de l’eau du Nil vers les gouvernorats frontaliers : Mer Rouge, Matrouh, Nord-Sinaï et Sud-Sinaï, afin d’économiser les coûts de transport d’une part et d’exploiter l’eau de mer d’autre part. Moawad a ajouté que le second axe inclus dans le plan consiste à recommander à toutes les zones industrielles et aux projets d’investissement, soient-ils commerciaux, touristiques ou résidentiels, d’établir des stations de dessalement et de ne pas dépendre des eaux du Nil. En cas de violation de cette règle, des mesures appropriées seront prises.

Le fait de choisir les gouvernorats frontaliers comme point de départ de ce projet est dû à plusieurs raisons, dont le coût élevé du transport de l’eau du Nil vers ces gouvernorats, ainsi que l’exposition de l’eau au vol et à la perte, en raison de l’installation des tubes d’eau et du vol des véhicules hydriques chargés d’acheminer l’eau vers ces gouvernorats.

De même ces gouvernorats donnent sur la mer, ce qui nécessite une exploitation intensive de l’eau de mer dans la période à venir, selon Moawad.

Il a estimé que pour maintenir la stabilité du quota d’eau de l’Egypte depuis des décennies, cela nécessite la mise à exécution rapide de nouveaux mécanismes pour bénéficier de l’eau de mer, notant que l’agriculture consomme environ 80% de la part d’eau de l’Égypte, 10% seulement des eaux du Nil étant destinées à l’eau potable et 10% à des fins commerciales et autres activités.

 

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