Le Président Abdel Fattah Al-Sissi est venu à Paris pour parler stabilité et sécurité du peuple libyen… pour parler souveraineté et indépendance des institutions libyennes et surtout pour parler de la nécessité de la non-ingérence étrangère dans les affaires libyennes.
Tout le monde était à l’écoute de ce que disait le Président Al-Sissi et de ce qu’il a toujours répété. Aujourd’hui encore le monde a prêté toute son attention au discours de l’Egypte qui a réussi à s’imposer dans les sphères internationales.
Le Président l’a dit : les axes de la Conférence de Paris sur la Libye sont les mêmes invariables auxquels s’attache la politique égyptienne. Premièrement, l’échéance électorale est indispensable sans retard ni atermoiement, pour ainsi mettre à l’épreuve la sériosité des parties libyennes belligérantes et leurs efforts pour réaliser la paix et trouver une issue à cette impasse.
Deuxièmement, la vision égyptienne appelle la communauté internationale à consolider la Libye en cette période critique de son Histoire.
Quant au troisième axe de la politique égyptienne vis-à-vis de la Libye, c’est de ne jamais permettre aucune ingérence étrangère dans les affaires libyennes, mais travailler à faire sortir les forces étrangères de ce pays, ainsi que tous les combattants étrangers et les mercenaires dans les plus brefs délais
L’Egypte l’a toujours répété : la sécurité nationale libyenne fait partie intégrante de la sécurité nationale égyptienne.