Les activités carbonées sont à terme condamnées, les banques ne devraient plus y investir car leur valeur risque de s’effondrer. Si le secteur bancaire continue de les soutenir, il doit le faire sur les seuls fonds propres, estime Aurore Lalucqc sur les echos. Records de chaleur, sécheresse la plus importante depuis un siècle, 50.000 hectares de forêts partis en fumée : cet été aura vu se multiplier les conséquences concrètes du dérèglement climatique. Ce dernier n’est plus un risque ni une hypothèse lointaine, c’est une réalité tangible, physique, dont chacun est désormais témoin, que chacun subit.