Les desserts orientaux sont toujours à table durant le mois béni de Ramadan. Une bouchée de konafa, de katayef, de baklavas constituent tant d’énergie après l’iftar. Bien que les prix de ces friandises aient monté en flèche cette année à cause de la flambée des noix qui en sont un ingrédient essentiel, les foyers égyptiens insistent à en acheter. Quel que soit le niveau financier de la famille égyptienne, les desserts orientaux sont présents après l’iftar pour que les jeûneurs en dégustent. Cependant, d’une famille à l’autre, et d’un niveau à l’autre, les friandises varieront. Plus la tranche est élevée, plus les types de friandises seront chers et farcis de noix. Les familles plus ou moins à revenu limité chercheront à fabriquer ces friandises à domicile.