Dans un article publié par le quotidien Al-Akhbar, Yasser Rizk indique que si l’on désire que nos jeunes soient sensibilisés et positifs, si l’on désire les convaincre, il faut répondre lorsqu’ils se demandent « pourquoi ? ». Ils ont parfois des opinons différentes mais correctes, de nouvelles idées. Il en est de même lorsque les jeunes s’interrogent sur les questions de leur pays. Il faut que les jeunes, après avoir trouvé les réponses, contribuent à bâtir leur pays. Les jeunes ont une position importante dans le projet national égyptien et constituent une priorité parmi les objectifs de la Nouvelle République.
Depuis la Révolution du 30 Juin, certains faisaient allusion à un conflit entre l’Etat et la jeunesse (…) mais dès le début, le Président Al-Sissi s’est attaché à dissiper ces idées. Il était conscient que changer l’Egypte doit passer par la jeunesse (…) Les jeunes sont devenus responsables du projet national visant à bâtir l’Etat moderne, que ce soit en planifiant, en gérant ou en exécutant (…) Les jeunes ont trouvé une plateforme pour le dialogue national : les forums de la jeunesse organisés dans les quatre coins du pays.
Les plus hautes autorités ont ensuite créé des cadres pour former les jeunes via le programme présidentiel puis l’Académie nationale pour la formation des jeunes (…) la Coordination des jeunes partis et politiciens a vu le jour et à travers cette entité, des jeunes sont devenus députés et sénateurs. Je n’affirme pas que nous avons réalisé toutes les ambitions de l’autonomisation des jeunes dans la prise de décision, mais ce serait injuste de ne pas jeter la lumière sur les succès réalisés. (…)