Al-Yom al-Sabie
Par Mohamed Al-Galy
Il y a un an et demi presque, le Président Abdel Fattah Al-Sissi inspectait les éléments de la zone militaire Ouest, en présence des hauts responsables militaires. Cette visite portait maints messages tranchants et décisifs pour tous ceux qui pensent à porter atteinte à la sécurité nationale de l’Egypte.
Le Président Al-Sissi avait dit : “L’Armée égyptienne est l’une des Armées les plus puissantes de la région, mais c’est une Armée sage qui protège et ne menace pas. C’est une Armée capable de défendre la sécurité nationale de l’Egypte à l’intérieur tout comme à l’extérieur des frontières”. (…) Il y a un an et demi, le Président a établi des lignes rouges pour tous ceux qui ont des convoitises et désirent usurper les richesses de l’Egypte ou des pays arabes. Lorsqu’il a parlé avec toute force, disant que la Libye est un grand pays et que son peuple est brave, il a affirmé que l’Egypte n’a jamais été un pays qui lance des offensives contre les autres pays, et que sa patience sur ce qui se passe en Libye est une patience pour clarifier la situation et non pas une faiblesse. “Dépasser Sirte et Al-Jufrah est une ligne rouge”, avait tempêté le Président Al-Sissi.
Ces propos du Président émanaient de son engagement à défendre l’intérêt des Libyens et son intérêt à leur unification afin de ne pas laisser la scène aux agresseurs ou ceux qui ont des convoitises. (…)
Le Président a adressé son message avec des propos sincères et clairs aux Libyens, lorsqu’il a dit que l’Egypte agira et répondra positif : “Si le peuple libyen nous appelle à intervenir”, en allusion au monde que l’Egypte et la Libye sont un même pays et que leurs intérêts sont les mêmes, de même que leur sécurité et leur stabilité. Le Président a poursuivi : “Fautif est celui qui pense que notre rêve à fléchi ou faibli”(…)