Sous pression après trois matches consécutifs sans victoire, l’entraîneur du Real Madrid Xabi Alonso joue peut-être déjà son avenir, mercredi à Athènes face à l’Olympiakos, où un mauvais résultat pourrait précipiter sa chute, selon l’AFP.
L’ex-milieu de terrain et stratège madrilène connaissait à la fois l’ampleur de sa tâche, et le contexte si particulier qui l’accompagnait, mieux que tous les autres coachs du marché.
Mais le technicien basque, dont les méthodes avaient fait leurs preuves au Bayer Leverkusen, se retrouve déjà dans les cordes, au moment de s’envoler vers Le Pirée, le principal port d’Athènes, pour ce qui aurait dû être une simple formalité sur la route vers les huitièmes de finale face à l’Olympiakos (31e).
Un quatrième match sans victoire pourrait mettre fin à son projet collectif ambitieux, à l’arrêt depuis trois semaines.
C’est la dure loi de la Maison Blanche, où deux défaites peuvent pousser un entraîneur vers la sortie, peu importe sa position au classement, et où les polémiques sont comme les têtes de l’Hydre de Lerne: à chacune coupée, deux autres repoussent.





