Tout a commencé durant le premier confinement du coronavirus, la belle-fille de l’artiste Abir Hélaïhel qui en partant habiter dans la ferme d’Ammar, s’est trouvée au contact de l’histoire contemporaine de l’art en Egypte et dans le monde arabe. A partir de ce moment, elle est animée par un seul rêve : faire renaître les artistes égyptiens de calibre de leurs cendres. Parmi ceuxi-ci figure son beau-père : Mamdouh Ammar. C’est dans cette veine que s’est tenue l’exposition «22 Talents éternels», organisée par l’Atelier Arabe pour la Culture et les Arts, qui renfermait un pavillon spécial pour présenter une collection d’œuvres du défunt artiste pour la première fois depuis sa disparition.