Elle n’avait plus fait d’apparition publique depuis l’arrivée de sa fille au début du mois d’août. Après avoir pris son congé maternité en laissant son mari et sa belle-mère présenter la petite Iman au monde, la princesse Rajwa de Jordanie a signé son grand retour, aux côtés de son mari et de sa belle-famille, selon Paris Match.Délaissant son rôle de jeune maman, l’épouse du prince Hussein s’est rendue à l’ouverture du Parlement dans un look intégralement noir qui contrastait avec celui de la reine Rania, qui avait opté pour du rouge.
Rajwa portait en effet une large veste noire cintrée à la taille par une ceinture Dior, ainsi qu’un pantalon noir, des escarpins Chloé et un sac Jill Sander. Sa belle-mère, elle, avait opté pour un haut Valentino rouge et une jupe Altuzarra de la même couleur, portés avec un sac beige Chloé. Les deux femmes accompagnaient leurs conjoints respectifs venus assurer leur rôle protocolaire en ouvrant officiellement les débats du Parlement jordanien, chacun habillé de son uniforme militaire.
Malgré ce faste, Rajwa et Hussein n’ont pas pu retenir un geste de tendresse, particulièrement rare dans cette monarchie où la pudeur est habituellement de mise, même durant les mariages. La réapparition de la future reine de Jordanie est d’autant plus notable que depuis sa sortie de la maternité le 7 août, son bébé de trois mois est plus visible qu’elle. Après avoir partagé les images du retour à la maison, la princesse Rajwa s’est mise en retrait, laissant son mari et sa belle-mère exposer la petite Iman sur les réseaux sociaux.La petite fille a notamment accompagné la reine Rania lors d’une réunion en visio-conférence, tandis que le prince Hussein a récemment partagé des images d’une soirée foot passées en compagnie de sa fille. Celle-ci est donc déjà bien habituée aux us et coutumes de la couronne, bien que son rôle au sein de la monarchie reste à définir. En effet, malgré son statut d’aînée, la petite Iman ne sera jamais reine, la Constitution jordanienne réservant la couronne aux héritiers mâles.
