L’Égypte a atteint la 22ème place sur 67 pays inclus dans l’Indice de performance en matière de changement climatique (CCPI) pour l’année 2024, devant l’Algérie, qui a atteint la 54ème place, la Turquie, qui a obtenu la 56ème place, et les Émirats arabes unis, qui ont obtenu la 65ème place.
L’Égypte a également atteint la deuxième place après le Maroc au niveau du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord, et cela est dû aux mesures prises par l’Égypte a pour investir dans des projets d’énergies renouvelables à grande échelle, comme en encourageant l’installation de l’énergie solaire et l’énergie éolienne, rapporte la MENA.
Il s’agit d’un communiqué publié samedi par l’Agence centrale de mobilisation publique et de statistiques (CAPMAS) à l’occasion de la Journée météorologique mondiale, célébrée le 23 mars de chaque année depuis la création de l’Organisation météorologique mondiale et le début de la mise en œuvre de la Convention météorologique mondiale visant à aider les pays à préserver l’environnement et à parvenir au développement durable.
Le communiqué indique que la quantité moyenne mensuelle la plus élevée de rayonnement solaire total en Égypte au cours de l’année 2022 a eu lieu en juin, lorsqu’elle a atteint 30,6 MJ/m2 à la station de surveillance d’Hurghada, suivie de 30,2 MJ. /m2 à la station de surveillance de Kharga, puis 29,8 MJ/m2 à la station de surveillance de Farafra.
Il ajoute que la température maximale moyenne mensuelle la plus élevée en Égypte au cours de l’année 2022 était de 42,6 degrés Celsius au mois d’août à la station de surveillance d’Assouan, tandis que la température minimale a atteint 29,7 degrés Celsius au mois d’août à la station de surveillance de Charm el-Cheikh.
La station de surveillance de Port-Saïd a également enregistré la moyenne mensuelle la plus élevée.
L’humidité relative en Égypte au cours de l’année 2022 a atteint 81%, et c’était en décembre.
La célébration de cette année se déroule sous le thème “En première ligne dans l’action climatique”, ce qui va de pair avec la tendance de la communauté internationale à prendre des décisions et des actions ambitieuses pour faire face aux changements climatiques qui affectent tous les secteurs économiques, sociaux et secteurs environnementaux, menaçant le processus de développement durable.