A l’époque moderne, l’art plastique est souvent relégué au second plan. Les jeunes générations sont surtout accrocs à la technologie, à l’informatique et aux appareils. Face à cette situation, le plasticien Adel Benjamin a cherché à rendre l’art accessible à tous et à attirer les yeux des nouvelles générations sur tout ce qui est esthétique. Ainsi, a-t-il lancé son initiative- il y a plus de deux ans sur les pages du Progrès Egyptien[1]sous l’appellation : « L’exposition se poursuit encore ».
En effet, l’artiste a décidé de porter des tableaux et de les exposer lui-même ainsi qu’un groupe d’artistes dans des lieux publics. « Si les jeunes ne sont pas toujours intéresssaient par l’art, nous allons chercher à les attirer », a-t-il dit. Résultat : réussite totale et complète de son initiative qui a pu heureusement attirer de nombreuses personnes. C’est dans les stations de métro fréquentaient par un monde fou qu’il a surtout commencé à q u e l q u e s mois du début de la pandémie du coronavirus.
Pandémie ou pas? Rien ne semble le freiner. Adel B e n j a m i n continue avec la même lucidité et la même insistance sa passion : l’art plastique et donner du goût au grand public aux œuvres d’art. Telle est la mission qu’il est fixé lui-même. Une exposition qui s’est poursuivie un peu partout dans les stations de métro, devant les bâtiments publics à l’instar des sièges du ministère de la Culture ou encore sur le bord du Nil et qu’il lui a valu de nombreuses déco[1]rations.